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type
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label
| - Orchestre de Paris - Ingo Metzmacher - Romain Descharmes
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comment
| - Le chef d’orchestre Ingo Metzmacher, grand connaisseur de la musique moderne, propose un parcours à travers le répertoire américain. Déclinaison symphonique du melting pot, c’est d’abord une musique fenêtres grandes ouvertes où s’assemblent différentes influences du continent influences.
Gershwin, par exemple, rapporte d’un séjour à La Havane en 1932 une ouverture de concert chargée de percussions : bongos, congas, claves, comme un orchestre cubain.
Les Danses symphoniques de West Side Story lui font écho, vingt-cinq ans après. Leonard Bernstein y a transcrit pour l’orchestre les plus belles mélodies de sa comédie musicale. Mais il prend aussi un plaisir fou à entrecouper cette suite de concert de flashs rythmiques, comme son hallucinant Mambo.
Musiciens nécessairement modernes puisque nés au tournant du XXe siècle, les compositeurs américains réagissent également aux nouvelles formes esthétiques. Le collage, la juxtaposition d’éléments hétérogènes caractérisent très nettement la Jazz Symphony de George Antheil. Jouant des influences afro-américaines nouvelles comme Gershwin, il écrit dans les années 20 cette partition en coq-à-l’âne. On y passe comme on claque une porte d’un solo de piano presque improvisé, à un tutti d’orchestre-klaxon. C’est un remarquable fourre-tout d’un compositeur qui se définissait lui-même comme le « bad boy » de la musique.
Œuvre magistrale aux combinaisons instrumentales ou orchestrales surprenantes, la Symphonie n° 4 dut attendre 50 ans après la mort d’Ives pour être enfin jouée. Jusqu’à trois chefs d’orchestre peuvent être nécessaires pour coordonner l’ensemble des musiciens et chanteurs. (fr)
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Gershwin, par exemple, rapporte d’un séjour à La Havane en 1932 une ouverture de concert chargée de percussions : bongos, congas, claves, comme un orchestre cubain.
Les Danses symphoniques de West Side Story lui font écho, vingt-cinq ans après. Leonard Bernstein y a transcrit pour l’orchestre les plus belles mélodies de sa comédie musicale. Mais il prend aussi un plaisir fou à entrecouper cette suite de concert de flashs rythmiques, comme son hallucinant Mambo.
Musiciens nécessairement modernes puisque nés au tournant du XXe siècle, les compositeurs américains réagissent également aux nouvelles formes esthétiques. Le collage, la juxtaposition d’éléments hétérogènes caractérisent très nettement la Jazz Symphony de George Antheil. Jouant des influences afro-américaines nouvelles comme Gershwin, il écrit dans les années 20 cette partition en coq-à-l’âne. On y passe comme on claque une porte d’un solo de piano presque improvisé, à un tutti d’orchestre-klaxon. C’est un remarquable fourre-tout d’un compositeur qui se définissait lui-même comme le « bad boy » de la musique.
Œuvre magistrale aux combinaisons instrumentales ou orchestrales surprenantes, la Symphonie n° 4 dut attendre 50 ans après la mort d’Ives pour être enfin jouée. Jusqu’à trois chefs d’orchestre peuvent être nécessaires pour coordonner l’ensemble des musiciens et chanteurs. (fr)
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