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| - Le programme du Quatuor Noga unit les univers schubertien et beethovénien au Hongrois György Ligeti, dont le subtil Premier Quatuor établit une évidente lignée esthétique avec Bartók et Alban Berg.
Créé en 2009 à Berlin par des membres venus de France, d’Israël ou encore d’Italie, et fort de ses études avec les quatuors Artemis et Alban Berg, le Quatuor Noga a remporté en 2015 le concours de Melbourne. L’extrême méticulosité de son jeu trouve dans les bruissements du Quatuor n°1 « Métamorphoses nocturnes », composé par Ligeti en 1953-1954 et redevable en partie de Bartók et Berg, un terrain d’élection. Quant à sa palette de timbres, elle enrichit le Quatuor n°10 de Schubert - alors âgé de seize ans -, une œuvre particulièrement spontanée. Enfin, dans son Quatuor n°12, qui se ressent de l’état d’exaltation que le compositeur connaissait alors, Beethoven renoue après quatorze ans de silence avec la forme suprême de la musique. (fr)
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| - Schubert, Ligeti, Beethoven
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| - Le programme du Quatuor Noga unit les univers schubertien et beethovénien au Hongrois György Ligeti, dont le subtil Premier Quatuor établit une évidente lignée esthétique avec Bartók et Alban Berg.
Créé en 2009 à Berlin par des membres venus de France, d’Israël ou encore d’Italie, et fort de ses études avec les quatuors Artemis et Alban Berg, le Quatuor Noga a remporté en 2015 le concours de Melbourne. L’extrême méticulosité de son jeu trouve dans les bruissements du Quatuor n°1 « Métamorphoses nocturnes », composé par Ligeti en 1953-1954 et redevable en partie de Bartók et Berg, un terrain d’élection. Quant à sa palette de timbres, elle enrichit le Quatuor n°10 de Schubert - alors âgé de seize ans -, une œuvre particulièrement spontanée. Enfin, dans son Quatuor n°12, qui se ressent de l’état d’exaltation que le compositeur connaissait alors, Beethoven renoue après quatorze ans de silence avec la forme suprême de la musique. (fr)
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