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| - Giovanna Marini, avec son quatuor vocal, revisite le mythe de la tour de Babel pour en faire la trame de sa vision tragicomique du monde d’aujourd’hui. Entre le rire et l’émotion, elle évoque ce monde, le nôtre, où ce qui se construit se détruit aussitôt.
« Je raconte la schizophrénie de notre époque », dit-elle à propos de cette cantate qu’elle a imaginée après la chute des tours jumelles de New York, le 11 septembre 2001. New York, cette Babel ou Babylone contemporaine où, aujourd’hui comme hier, coexistent « l’angoisse de construire et les signes de la destruction qui arrivent de l’Irak, des malversations économiques »…
Quatre voix donc, ainsi que l’immense talent de conteuse de Giovanna Marini, pour évoquer les dérives de l'ère mondialisée, bavures policières à Gênes en 2001, des épisodes tragiques de la guerre, la drogue, la mafia, la Vierge ou le Christ… Mais sans aucune mise en scène : « Tout est imaginaire, car je crois à un théâtre involontaire… Je n’aime pas les scènes remplies, je préfère celles qui sont vides. » (fr)
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| - Giovanna Marini, avec son quatuor vocal, revisite le mythe de la tour de Babel pour en faire la trame de sa vision tragicomique du monde d’aujourd’hui. Entre le rire et l’émotion, elle évoque ce monde, le nôtre, où ce qui se construit se détruit aussitôt.
« Je raconte la schizophrénie de notre époque », dit-elle à propos de cette cantate qu’elle a imaginée après la chute des tours jumelles de New York, le 11 septembre 2001. New York, cette Babel ou Babylone contemporaine où, aujourd’hui comme hier, coexistent « l’angoisse de construire et les signes de la destruction qui arrivent de l’Irak, des malversations économiques »…
Quatre voix donc, ainsi que l’immense talent de conteuse de Giovanna Marini, pour évoquer les dérives de l'ère mondialisée, bavures policières à Gênes en 2001, des épisodes tragiques de la guerre, la drogue, la mafia, la Vierge ou le Christ… Mais sans aucune mise en scène : « Tout est imaginaire, car je crois à un théâtre involontaire… Je n’aime pas les scènes remplies, je préfère celles qui sont vides. » (fr)
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