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type
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label
| - Orchestre révolutionnaire et romantique
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comment
| - Soirée toute viennoise pour l’Orchestre Révolutionnaire et Romantique, sous la direction de Sir John Eliot Gardiner : Quatrième Concerto pour piano de Beethoven et Cinquième Symphonie de Schubert, que séparent dix ans seulement ; Deuxième Sérénade de Brahms.
À tout seigneur tout honneur : l’Orchestre Révolutionnaire et Romantique fondé par John Eliot Gardiner en 1989 interprète Beethoven depuis ses tout débuts. Gardiner expliquait d’ailleurs à l’époque l’importance pour lui du modèle de l’Orchestre de la Société des concerts du Conservatoire formé à Paris par François-Antoine Habeneck, qui fut parmi les grands défenseurs de la musique instrumentale de Beethoven. Pour répondre aux instruments d’époque des musiciens, le piano-forte de Kristian Bezuidenhout, qui déclarait en 2012 : « Lorsque l’on joue Beethoven, tout particulièrement sur des pianos d’époque, on expérimente de façon très frappante l’évolution dans l’utilisation du piano à cette époque. Beethoven, plus que n’importe quel autre compositeur, résume et incarne ce changement incroyable dans le son et la facture du piano ». (fr)
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À tout seigneur tout honneur : l’Orchestre Révolutionnaire et Romantique fondé par John Eliot Gardiner en 1989 interprète Beethoven depuis ses tout débuts. Gardiner expliquait d’ailleurs à l’époque l’importance pour lui du modèle de l’Orchestre de la Société des concerts du Conservatoire formé à Paris par François-Antoine Habeneck, qui fut parmi les grands défenseurs de la musique instrumentale de Beethoven. Pour répondre aux instruments d’époque des musiciens, le piano-forte de Kristian Bezuidenhout, qui déclarait en 2012 : « Lorsque l’on joue Beethoven, tout particulièrement sur des pianos d’époque, on expérimente de façon très frappante l’évolution dans l’utilisation du piano à cette époque. Beethoven, plus que n’importe quel autre compositeur, résume et incarne ce changement incroyable dans le son et la facture du piano ». (fr)
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