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| - Ce concert est diffusé en direct sur le site live.philharmoniedeparis.fr où il restera disponible pendant six mois
Pierre Boulez a toujours pensé les programmes de ses concerts en inscrivant les oeuvres récentes dans une tradition de la modernité qui remonte à la seconde école de Vienne. Pour cet hommage au compositeur disparu en janvier 2016, ce sont ses moments favoris chez Schönberg et Webern qui introduisent sur Incises, une partition de 1998 dans laquelle, comme il aimait à le faire, il commente ses Incises pour piano de 1994.
Pierre Boulez n’était pas homme à rester immobile et à s’endormir sur ses lauriers. Tous ceux qui l’ont croisé peuvent en témoigner : il allait toujours de l’avant. À présent orphelin de son fondateur, l’Ensemble intercontemporain saura lui aussi tourner inlassablement ses regards vers l’avenir — tout en replaçant son action dans une perspective historique, comme Boulez lui-même aimait à le faire. C’est cette perspective qu’il brosse ici, en montrant les racines musicales les plus profondes du maître : des racines qui remontent à la deuxième école de Vienne, qu’il a dirigé à maintes reprises et dont il a enregistré des versions de référence. Il était ainsi tout particulièrement à l’aise dans la concision précise et kaléidoscopique d’Anton Webern, mais savait tout aussi bien sublimer l’expressionnisme d’Arnold Schönberg… (fr)
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| - Ce concert est diffusé en direct sur le site live.philharmoniedeparis.fr où il restera disponible pendant six mois
Pierre Boulez a toujours pensé les programmes de ses concerts en inscrivant les oeuvres récentes dans une tradition de la modernité qui remonte à la seconde école de Vienne. Pour cet hommage au compositeur disparu en janvier 2016, ce sont ses moments favoris chez Schönberg et Webern qui introduisent sur Incises, une partition de 1998 dans laquelle, comme il aimait à le faire, il commente ses Incises pour piano de 1994.
Pierre Boulez n’était pas homme à rester immobile et à s’endormir sur ses lauriers. Tous ceux qui l’ont croisé peuvent en témoigner : il allait toujours de l’avant. À présent orphelin de son fondateur, l’Ensemble intercontemporain saura lui aussi tourner inlassablement ses regards vers l’avenir — tout en replaçant son action dans une perspective historique, comme Boulez lui-même aimait à le faire. C’est cette perspective qu’il brosse ici, en montrant les racines musicales les plus profondes du maître : des racines qui remontent à la deuxième école de Vienne, qu’il a dirigé à maintes reprises et dont il a enregistré des versions de référence. Il était ainsi tout particulièrement à l’aise dans la concision précise et kaléidoscopique d’Anton Webern, mais savait tout aussi bien sublimer l’expressionnisme d’Arnold Schönberg… (fr)
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