Attributes | Values |
---|
type
| |
label
| |
comment
| - Donné dans le cadre du Festival-Académie ManiFeste organisé par l’Ircam, ce concert exemplifie la raison d’être de l’événement : promouvoir la création, en même temps que compléter la formation des figures marquantes de demain.
S’y côtoient ainsi références incontournables, personnalités déjà bien affirmées, et jeunes en devenir. Parmi les premières, on trouve évidemment le Finlandais Magnus Lindberg, dont les liens avec l’Ircam et l’Ensemble intercontemporain remontent à ses séjours parisiens, dans les années 1980. Viennent ensuite les deux quadras Roque Rivas et Franck Bedrossian. Chilien installé à Paris, le premier est un passionné d’architecture, qui représente pour lui un large réservoir d’inspiration. Dans Campo abierto, il travaille justement la mise en espace des sons à partir du modèle de la perspective, imaginant des points de fuite, et des mouvements qui éloignent ou rapprochent l’auditeur. Le second, à l’inverse, est un Parisien installé en Californie. La culture française ne cesse pourtant pas de l’habiter : le titre de sa pièce fait référence aux derniers mots du poème en prose « Vagabonds », dans lequel Rimbaud évoque avec amertume certaines « veillées atroces » en compagnie de Verlaine — alors qu’il était si « pressé de trouver le lieu et la formule ». La partition qu’en tire Bedrossian épouse la trajectoire des voyages du poète en Europe et au Harar. Quant au benjamin, Benoît Sitztia, il enrichit son approche de la composition d’un contact assidu avec le théâtre et la médiation. (fr)
|
P69 has association with
| |
prov:wasDerivedFrom
| |
P2 has type
| |
U8 foresees time-span
| |
prov:wasAttributedTo
| |
prov:wasGeneratedBy
| |
U77 foresees performing plan
| |
P102 has title
| |
U7 foresees place at
| |
U67 has subtitle
| - Ensemble intercontemporain - Matthias Pintscher - Gilbert Nouno - Lindberg, Sitzia, Rivas, Bedrossian
|
dc:identifier
| |
P3 has note
| - Donné dans le cadre du Festival-Académie ManiFeste organisé par l’Ircam, ce concert exemplifie la raison d’être de l’événement : promouvoir la création, en même temps que compléter la formation des figures marquantes de demain.
S’y côtoient ainsi références incontournables, personnalités déjà bien affirmées, et jeunes en devenir. Parmi les premières, on trouve évidemment le Finlandais Magnus Lindberg, dont les liens avec l’Ircam et l’Ensemble intercontemporain remontent à ses séjours parisiens, dans les années 1980. Viennent ensuite les deux quadras Roque Rivas et Franck Bedrossian. Chilien installé à Paris, le premier est un passionné d’architecture, qui représente pour lui un large réservoir d’inspiration. Dans Campo abierto, il travaille justement la mise en espace des sons à partir du modèle de la perspective, imaginant des points de fuite, et des mouvements qui éloignent ou rapprochent l’auditeur. Le second, à l’inverse, est un Parisien installé en Californie. La culture française ne cesse pourtant pas de l’habiter : le titre de sa pièce fait référence aux derniers mots du poème en prose « Vagabonds », dans lequel Rimbaud évoque avec amertume certaines « veillées atroces » en compagnie de Verlaine — alors qu’il était si « pressé de trouver le lieu et la formule ». La partition qu’en tire Bedrossian épouse la trajectoire des voyages du poète en Europe et au Harar. Quant au benjamin, Benoît Sitztia, il enrichit son approche de la composition d’un contact assidu avec le théâtre et la médiation. (fr)
|
foaf:isPrimaryTopicOf
| |