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| - Gustavo Dudamel dirige deux symphonies de Schubert et Mahler, lumineuses, infiniment gracieuses, d’une même apparente simplicité : à un siècle d’intervalle, les deux génies autrichiens n’ont jamais semblé plus proches.
Ouvrage particulièrement souriant composé alors que Schubert n’avait que dix-huit ans, la Troisième Symphonie effleure la majesté pour mieux s’ébrouer dans l’élégance la plus fine (Allegretto), la vigueur terrienne (Menuetto), la vivacité sans nuages (Presto) : un immense rayon de soleil. On a vu dans la Quatrième Symphonie de Mahler, hymne à la vie d’une sérénité, d’une légèreté rares chez le compositeur, un retour à une certaine simplicité et à une forme plus ramassée. Symphonie aux deux visages au demeurant, car derrière la grâce exquise, la fraîcheur, qui se hausse dans le finale en forme de Lied à des hauteurs paradisiaques, se cachent sarcasmes, accents passionnés et déchirants. Emporté par son charisme, Gustavo Dudamel nous mène vers les cieux. (fr)
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| - Mahler Chamber Orchestra - Golda Schultz - Schubert, Mahler
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| - Gustavo Dudamel dirige deux symphonies de Schubert et Mahler, lumineuses, infiniment gracieuses, d’une même apparente simplicité : à un siècle d’intervalle, les deux génies autrichiens n’ont jamais semblé plus proches.
Ouvrage particulièrement souriant composé alors que Schubert n’avait que dix-huit ans, la Troisième Symphonie effleure la majesté pour mieux s’ébrouer dans l’élégance la plus fine (Allegretto), la vigueur terrienne (Menuetto), la vivacité sans nuages (Presto) : un immense rayon de soleil. On a vu dans la Quatrième Symphonie de Mahler, hymne à la vie d’une sérénité, d’une légèreté rares chez le compositeur, un retour à une certaine simplicité et à une forme plus ramassée. Symphonie aux deux visages au demeurant, car derrière la grâce exquise, la fraîcheur, qui se hausse dans le finale en forme de Lied à des hauteurs paradisiaques, se cachent sarcasmes, accents passionnés et déchirants. Emporté par son charisme, Gustavo Dudamel nous mène vers les cieux. (fr)
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