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| - En quatre concerts, Daniel Barenboim propose une large anthologie des sonates de Schubert. Celles-ci font poursuivre au compositeur autrichien, d’une manière très personnelle, le chemin amorcé par les trente-deux sonates de Beethoven.
La carrière prestigieuse du chef Daniel Barenboim a quelque peu occulté celle, non moins riche, du pianiste. Enfant prodige (il donne son premier concert à sept ans), il prend part dès les années cinquante à la vie musicale internationale. Ses qualités reconnues de virtuose du clavier, un sens développé de la plastique sonore et son souci de l’architecture devraient faire merveille dans les deux opus magnum de cette soirée schubertienne. La Sonate D. 894 de 1826, dite « fantaisie », peut-être la plus subtile et secrètement lyrique de toutes, bruisse d’un murmure indéfinissable. Première de la fameuse trilogie des dernières sonates, la D. 958 s’ouvre sur des mesures d’un héroïsme dramatique et s’achève sur la course folle d’un allegro fantasmagorique. (fr)
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| - Schubert - Sonates pour piano 2
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| - En quatre concerts, Daniel Barenboim propose une large anthologie des sonates de Schubert. Celles-ci font poursuivre au compositeur autrichien, d’une manière très personnelle, le chemin amorcé par les trente-deux sonates de Beethoven.
La carrière prestigieuse du chef Daniel Barenboim a quelque peu occulté celle, non moins riche, du pianiste. Enfant prodige (il donne son premier concert à sept ans), il prend part dès les années cinquante à la vie musicale internationale. Ses qualités reconnues de virtuose du clavier, un sens développé de la plastique sonore et son souci de l’architecture devraient faire merveille dans les deux opus magnum de cette soirée schubertienne. La Sonate D. 894 de 1826, dite « fantaisie », peut-être la plus subtile et secrètement lyrique de toutes, bruisse d’un murmure indéfinissable. Première de la fameuse trilogie des dernières sonates, la D. 958 s’ouvre sur des mesures d’un héroïsme dramatique et s’achève sur la course folle d’un allegro fantasmagorique. (fr)
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