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type
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label
| - Orchestre de Paris - Christoph von Dohnányi - Matthias Goerne - Elena Zhidkova - András Bálint
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comment
| - Le Château de Barbe-Bleue est l’unique opéra de Bartók. Mais est-ce vraiment un opéra ? Si peu de chant, deux personnages sans jamais un duo, un monde sonore épais – le château de l’âme humaine d’où suintent tous les secrets d’une vie. Cette symphonie scénique était si ambitieuse et osée pour son époque en 1911, elle rompait tellement avec les canons du genre lyrique, que Bartók dut attendre sept ans pour qu’elle soit finalement créée.
L’œuvre est magnifique et secrète : la langue hongroise y devient musique sinueuse et mystérieuse, et la musique est frissonnante. À chaque porte ouverte par la nouvelle femme de Barbe-Bleue, l’orchestration change complètement. Pour ce conte symbolique très dépouillé, une version de concert plaçant l’écoute au premier plan trouve tout son sens, les chanteurs adossés à l’orchestre.
Mais que proposer pour ouvrir ce concert, permettre à l’auditeur de s’y installer ? Rien ne semblerait bien équilibrer cette nuit de larmes...
Alors ce sera un contrepied. Le jour et la nuit. La symphonie Italienne de Mendelssohn, la composition d’un jeune homme qui voyage à travers l’Europe, peint et écrit, libre, heureux de vivre, portant encore en lui l’insouciance du jeune prodige.
Ce sera le jour et la nuit, mais portés par le chef d’orchestre Christoph von Dohnányi, l’un des meilleurs interprètes de Bartók encore aujourd’hui, un véritable monstre sacré de la musique du XXe siècle. (fr)
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L’œuvre est magnifique et secrète : la langue hongroise y devient musique sinueuse et mystérieuse, et la musique est frissonnante. À chaque porte ouverte par la nouvelle femme de Barbe-Bleue, l’orchestration change complètement. Pour ce conte symbolique très dépouillé, une version de concert plaçant l’écoute au premier plan trouve tout son sens, les chanteurs adossés à l’orchestre.
Mais que proposer pour ouvrir ce concert, permettre à l’auditeur de s’y installer ? Rien ne semblerait bien équilibrer cette nuit de larmes...
Alors ce sera un contrepied. Le jour et la nuit. La symphonie Italienne de Mendelssohn, la composition d’un jeune homme qui voyage à travers l’Europe, peint et écrit, libre, heureux de vivre, portant encore en lui l’insouciance du jeune prodige.
Ce sera le jour et la nuit, mais portés par le chef d’orchestre Christoph von Dohnányi, l’un des meilleurs interprètes de Bartók encore aujourd’hui, un véritable monstre sacré de la musique du XXe siècle. (fr)
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