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| - « Me voici donc en Italie ! Ce qui a été pour moi, depuis l’âge de raison, le plus beau rêve de la vie. », avoue Félix Mendelssohn. Commencée en Italie en 1831, avec ses quatre mouvements liés à la danse ou à la marche, la symphonie Italienne du brillant jeune homme respire la lumière, la clarté. Pourtant l’oeuvre, malgré sa séduction évidente, ne sera pas éditée du vivant de Mendelssohn. Ce programme, pensé sous le signe italien, avec un orchestre allemand (le Gewandhaus que Mendelssohn aimait diriger), propose trois oeuvres lumineuses. On retiendra que Pollini à l’aube de sa carrière avait été un camarade idéologique de Nono défendant l’avant-garde musicale des années 1970. D’une séduction moins facile que l’Italienne, et c’est juste avant d’adhérer au parti communiste, Nono compose la Composizione n°1 pour orchestre en 1951. Ici, la lumière se fait par percées dans un sérialisme sévère et gris. Et pourtant, l’humanisme est évident. Viendront ensuite Como una ola de fuerza y luz (Comme une vague de force et de lumière), cantate politique militante pour soprano, piano et orchestre, écrite pour Abbado et Pollini en 1972 et ...sofferte onde serene... (ondes sereines, subies), de 1976 écrite aussi pour Pollini. C’est également en 1976 que le jeune pianiste italien enregistre le quatrième concerto de Beethoven avec Karl Böhm. Depuis, l’oeuvre qui chante un humanisme radieux, a connu plusieurs versions sans jamais quitter le répertoire de Pollini. Un programme cohérent par l’histoire de ses interprètes, par l’humanisme lumineux des oeuvres choisies. (fr)
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| - Maurizio Pollini - Riccardo Chailly - Gewandhausorchester Leipzig
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| - « Me voici donc en Italie ! Ce qui a été pour moi, depuis l’âge de raison, le plus beau rêve de la vie. », avoue Félix Mendelssohn. Commencée en Italie en 1831, avec ses quatre mouvements liés à la danse ou à la marche, la symphonie Italienne du brillant jeune homme respire la lumière, la clarté. Pourtant l’oeuvre, malgré sa séduction évidente, ne sera pas éditée du vivant de Mendelssohn. Ce programme, pensé sous le signe italien, avec un orchestre allemand (le Gewandhaus que Mendelssohn aimait diriger), propose trois oeuvres lumineuses. On retiendra que Pollini à l’aube de sa carrière avait été un camarade idéologique de Nono défendant l’avant-garde musicale des années 1970. D’une séduction moins facile que l’Italienne, et c’est juste avant d’adhérer au parti communiste, Nono compose la Composizione n°1 pour orchestre en 1951. Ici, la lumière se fait par percées dans un sérialisme sévère et gris. Et pourtant, l’humanisme est évident. Viendront ensuite Como una ola de fuerza y luz (Comme une vague de force et de lumière), cantate politique militante pour soprano, piano et orchestre, écrite pour Abbado et Pollini en 1972 et ...sofferte onde serene... (ondes sereines, subies), de 1976 écrite aussi pour Pollini. C’est également en 1976 que le jeune pianiste italien enregistre le quatrième concerto de Beethoven avec Karl Böhm. Depuis, l’oeuvre qui chante un humanisme radieux, a connu plusieurs versions sans jamais quitter le répertoire de Pollini. Un programme cohérent par l’histoire de ses interprètes, par l’humanisme lumineux des oeuvres choisies. (fr)
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