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| - Conduit par le violon soliste de leur chef, David Grimal, l’orchestre Les Dissonances poursuit son exploration du répertoire germanique. Un programme d’une grande densité qui culmine dans le bouleversant Concerto « À la mémoire d’un ange » d’Alban Berg.
Trois chefs d’œuvre du répertoire germanique. Trois compositeurs aux esthétiques a priori dissemblables : le premier, Brahms, qui poursuit dans sa Symphonie n°4 un idéal formel apollinien ; le deuxième, Berg, qui assume pleinement le langage dodécaphonique, et le dernier, Strauss, qui accomplit dans Le Chevalier à la Rose un spectaculaire revirement esthétique après les fulgurances de Salomé et Elektra. Et pourtant, c'est le même regard rétrospectif que les trois compositeurs inscrits au programme de ce concert portent sur la grande tradition viennoise. Par le biais de mélodies saisissantes, Brahms signe un bouleversant adieu au genre de la symphonie. Strauss renoue avec l’insouciance des danses impériales antérieures à 1914 Quant au Concerto de Berg, il cite un choral de Bach comme fanal d’un monde en voie de disparition. (fr)
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| - Les Dissonances - David Grimal - R. Strauss, Berg, Brahms
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| - Conduit par le violon soliste de leur chef, David Grimal, l’orchestre Les Dissonances poursuit son exploration du répertoire germanique. Un programme d’une grande densité qui culmine dans le bouleversant Concerto « À la mémoire d’un ange » d’Alban Berg.
Trois chefs d’œuvre du répertoire germanique. Trois compositeurs aux esthétiques a priori dissemblables : le premier, Brahms, qui poursuit dans sa Symphonie n°4 un idéal formel apollinien ; le deuxième, Berg, qui assume pleinement le langage dodécaphonique, et le dernier, Strauss, qui accomplit dans Le Chevalier à la Rose un spectaculaire revirement esthétique après les fulgurances de Salomé et Elektra. Et pourtant, c'est le même regard rétrospectif que les trois compositeurs inscrits au programme de ce concert portent sur la grande tradition viennoise. Par le biais de mélodies saisissantes, Brahms signe un bouleversant adieu au genre de la symphonie. Strauss renoue avec l’insouciance des danses impériales antérieures à 1914 Quant au Concerto de Berg, il cite un choral de Bach comme fanal d’un monde en voie de disparition. (fr)
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