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| - La délicate déploration de Lutoslawski prélude au colossal Requiem de Berlioz, partition de tous les superlatifs qui requiert un effectif hors norme unissant deux orchestres et chœurs placés sous la direction de Pablo Heras-Casado. Un événement.
Le Requiem de Berlioz, œuvre parmi les plus gigantesques du répertoire, confine à l’épopée, loin de l’affliction que suppose le genre funéraire. Fruit d’une commande officielle, la partition fut créée aux Invalides avec grand succès : « l’impression a été foudroyante (…), au moment du Jugement dernier, l’épouvante produite par les cinq orchestres et les huit paires de timbales accompagnant le Tuba mirum ne peut se peindre (…), c’était d’une horrible grandeur », s’enthousiasma Berlioz. La présence de Bryan Hymel est aussi à marquer d’une pierre blanche. En introduction, l’œuvre de Lutoslawski, achevée en 1958 et dédiée à la mémoire de Béla Bartók, est destinée aux cordes seules. La voix du créateur hongrois s’entend distinctement dans cette dense et noble déploration. (fr)
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| - Orchestre de Paris - Orchestre du Conservatoire de Paris - Pablo Heras-Casado - Lutoslawski, Berlioz
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P3 has note
| - La délicate déploration de Lutoslawski prélude au colossal Requiem de Berlioz, partition de tous les superlatifs qui requiert un effectif hors norme unissant deux orchestres et chœurs placés sous la direction de Pablo Heras-Casado. Un événement.
Le Requiem de Berlioz, œuvre parmi les plus gigantesques du répertoire, confine à l’épopée, loin de l’affliction que suppose le genre funéraire. Fruit d’une commande officielle, la partition fut créée aux Invalides avec grand succès : « l’impression a été foudroyante (…), au moment du Jugement dernier, l’épouvante produite par les cinq orchestres et les huit paires de timbales accompagnant le Tuba mirum ne peut se peindre (…), c’était d’une horrible grandeur », s’enthousiasma Berlioz. La présence de Bryan Hymel est aussi à marquer d’une pierre blanche. En introduction, l’œuvre de Lutoslawski, achevée en 1958 et dédiée à la mémoire de Béla Bartók, est destinée aux cordes seules. La voix du créateur hongrois s’entend distinctement dans cette dense et noble déploration. (fr)
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