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| - « Une promenade où errent des thèmes aussi différents que l’humanité, les hauteurs, la nuit, la mort, le désespoir, l’amour, le secret, Richard Wagner, la nature, le gai savoir, le tonneau de Diogène, la gloire, la lune » : c’est ainsi que Pascal Dusapin décrit les 19 chants et 4 interludes pianistiques qui composent O Mensch!, sur des textes de Nietzsche. Une œuvre à mi-chemin entre le cycle de lieder et le drame miniature, portée par le merveilleux Georg Nigl.
Aux origines de cette œuvre scénique atypique, à mi-chemin entre le cycle de Lieder et le drame miniature, on trouve une double amitié artistique : celle qui lit Pascal Dusapin au baryton Georg Nigl et à la pianiste Vanessa Wagner. Composée de 19 chants et 4 interludes pianistiques, la partition porte la marque indéniable de cette complicité : une forme d’intimisme pénétré et de secrète intelligence qui illuminent le discours musical. Adaptation musicale d’un florilège de poèmes de Friedrich Nietzsche, c’est une expérience mystérieuse, poétique, pleine de nostalgie : « Une promenade, dit le compositeur, où errent des thèmes aussi différents que l’humanité, les hauteurs, la nuit, la mort, le désespoir, l’amour, le secret, Richard Wagner, la nature, le gai savoir, le tonneau de Diogène, la gloire, la lune. » Pour la première fois depuis sa création parisienne il y a presque dix ans, l’œuvre nous revient, incarnée par Georg Nigl et accompagnée par le sensible pianiste Sébastien Vichard, soliste de l’Ensemble intercontemporain. (fr)
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Aux origines de cette œuvre scénique atypique, à mi-chemin entre le cycle de Lieder et le drame miniature, on trouve une double amitié artistique : celle qui lit Pascal Dusapin au baryton Georg Nigl et à la pianiste Vanessa Wagner. Composée de 19 chants et 4 interludes pianistiques, la partition porte la marque indéniable de cette complicité : une forme d’intimisme pénétré et de secrète intelligence qui illuminent le discours musical. Adaptation musicale d’un florilège de poèmes de Friedrich Nietzsche, c’est une expérience mystérieuse, poétique, pleine de nostalgie : « Une promenade, dit le compositeur, où errent des thèmes aussi différents que l’humanité, les hauteurs, la nuit, la mort, le désespoir, l’amour, le secret, Richard Wagner, la nature, le gai savoir, le tonneau de Diogène, la gloire, la lune. » Pour la première fois depuis sa création parisienne il y a presque dix ans, l’œuvre nous revient, incarnée par Georg Nigl et accompagnée par le sensible pianiste Sébastien Vichard, soliste de l’Ensemble intercontemporain. (fr)
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