Attributes | Values |
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type
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label
| - Chamber Orchestra of Europe
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comment
| - Née à Tokyo en 1948, Mitsuko Uchida s’est d’abord fait connaître, dans les années 1980, comme l’une des plus grandes interprètes de Mozart : elle a donné en concert, à Londres, à Tokyo puis à New York, des cycles où elle jouait l’intégrale des sonates de Mozart, ainsi que ses concertos pour piano (1985-1987). Ses enregistrements mozartiens publiés par Philips – Complete Piano Concertos en 1994, Complete Piano Sonatas en 2001 – ont peut-être masqué pour un temps, aux yeux des mélomanes, la véritable dimension de son répertoire : elle est aussi à l’aise dans Haydn que dans Schönberg, dans Chopin que dans Debussy ou Bartók.
En présentant deux des derniers concertos pour piano de Mozart, elle renoue donc avec une vieille et belle histoire. Mais réinventée, repensée sous un nouveau jour, comme lorsqu’elle associait, dans ses programmes des années 1990, Schubert et Schönberg. En dirigeant le ballet néoclassique de Stravinski, Apollon musagète (1928), elle est fidèle à son exigence de toujours : « Vous ne pouvez pas passer votre vie avec un compositeur. Si j’en étais resté là, mon Mozart se serait déterioré à l’instant et mon interprétation des autres compositeurs serait tout aussi mauvaise. »
(www.mitsukouchida.com) (fr)
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| - Née à Tokyo en 1948, Mitsuko Uchida s’est d’abord fait connaître, dans les années 1980, comme l’une des plus grandes interprètes de Mozart : elle a donné en concert, à Londres, à Tokyo puis à New York, des cycles où elle jouait l’intégrale des sonates de Mozart, ainsi que ses concertos pour piano (1985-1987). Ses enregistrements mozartiens publiés par Philips – Complete Piano Concertos en 1994, Complete Piano Sonatas en 2001 – ont peut-être masqué pour un temps, aux yeux des mélomanes, la véritable dimension de son répertoire : elle est aussi à l’aise dans Haydn que dans Schönberg, dans Chopin que dans Debussy ou Bartók.
En présentant deux des derniers concertos pour piano de Mozart, elle renoue donc avec une vieille et belle histoire. Mais réinventée, repensée sous un nouveau jour, comme lorsqu’elle associait, dans ses programmes des années 1990, Schubert et Schönberg. En dirigeant le ballet néoclassique de Stravinski, Apollon musagète (1928), elle est fidèle à son exigence de toujours : « Vous ne pouvez pas passer votre vie avec un compositeur. Si j’en étais resté là, mon Mozart se serait déterioré à l’instant et mon interprétation des autres compositeurs serait tout aussi mauvaise. »
(www.mitsukouchida.com) (fr)
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