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| - La Sonate en si mineur de Liszt (1853) a suscité plus de commentaires que toutes ses autres oeuvres. Dans cette architecture abstraite – une « sonate », sans aucun prétexte narratif –, les exégètes se sont empressés de lire des programmes cachés : la légende de Faust, la description du jardin d’Éden ou un portrait de Liszt lui-même…
Luigi Nono, dans son quatuor Fragmente-Stille, an Diotima (1980), a au contraire choisi d’interrompre la musique par des points d’orgue qui sont autant de citations de Hölderlin. Celles-ci ne sont pas à entendre comme des indications pour l’exécution, mais plutôt, ainsi que le suggère poétiquement le compositeur, comme de « multiples instants-penséessilences». Des percées vers un « infini » qui s’ouvre au coeur de la musique : vers les chants « d’autres espaces d’autres cieux ». (fr)
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| - La Sonate en si mineur de Liszt (1853) a suscité plus de commentaires que toutes ses autres oeuvres. Dans cette architecture abstraite – une « sonate », sans aucun prétexte narratif –, les exégètes se sont empressés de lire des programmes cachés : la légende de Faust, la description du jardin d’Éden ou un portrait de Liszt lui-même…
Luigi Nono, dans son quatuor Fragmente-Stille, an Diotima (1980), a au contraire choisi d’interrompre la musique par des points d’orgue qui sont autant de citations de Hölderlin. Celles-ci ne sont pas à entendre comme des indications pour l’exécution, mais plutôt, ainsi que le suggère poétiquement le compositeur, comme de « multiples instants-penséessilences». Des percées vers un « infini » qui s’ouvre au coeur de la musique : vers les chants « d’autres espaces d’autres cieux ». (fr)
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