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| - Carte blanche aux jeunes solistes du Conservatoire de Paris
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| comment
| - Au seuil de leur vie professionnelle, les musiciens les plus avancés du Conservatoire de Paris se confrontent aux enjeux d'un récital complet dans des programmes et avec les partenaires de leur choix.
Stefanos Thomopoulos, piano
Salué par la presse comme un pianiste saisissant, Stephanos Thomopoulos, né en Grèce, est aujourd’hui un des pianistes les plus reconnus de son pays. Il fait ses études à la Musikhochschüle de Cologne, au Conservatoire de Paris (cnsmdp) et au Conservatoire d’Amsterdam. Ses professeurs principaux sont Jacques Rouvier et Marie Françoise Bucquet, tandis qu’il reçoit également les conseils de musiciens tels que Dimitri Bashkirov, Aldo Ciccolini, John O’Conor.
Lauréat de concours internationaux (Maria Canals, Holland Music Sessions, Yamaha Music Foundation), il se produit dans plusieurs pays européens aux Etats-Unis et en Amérique du Sud, et dans des salles importantes (Concertgebouw d’Amsterdam, Mégaron d’Athènes et Thessalonique, Théâtre antique d’Epidaure en Grèce, Salle Cortot, Salle Gaveau, Auditorium du Musée d’Orsay, Unesco à Paris, Palais des Festivals à Santander). Il est invité dans de nombreux festivals dont Piano à Auxerre, Les Dominicains de Haute Alsace, les Rencontres musicales de Santander, le Festival d’Athènes, le Festival de piano et le Festival Dimitria de Thessalonique en Grèce, The New Masters on tour en Hollande. Il joue avec les Orchestres nationaux d’Athènes et Thessalonique, l’Orchestre national de Belgrade, la Camerata d’Athènes, l’Orchestre de chambre néerlandais, l’Orchestre philharmonique d’Odessa, l’Orchestre de la Radio hellénique. Il a enregistré des œuvres d’Alexandre Scriabine pour le Mécénat de la Société Générale et des œuvres de Manos Hadjidakis pour la Fondation italienne CIMA. Son répertoire s’étend sur une large partie de la littérature pianistique, avec une prédilection pour la musique du XXe siècle, et surtout la musique contemporaine de son pays : Iannis Xenakis, Manos Hadjidakis, Mikis Theodorakis, Giorgos Koumendakis.
Matteo Cesari, flûte
Après avoir obtenu en 2004 son diplôme de soliste à Bologne (Italie), Matteo Cesari poursuit ses études à Modène (Italie) auprès de Michele Marasco et Andrea Oliva et obtient un diplôme universitaire en études musicales (mention très bien avec félicitations du jury) avec une thèse sur les lectures de Luciano Berio à Harvard. Il obtient également un Premier prix ainsi qu’un Master en interprétation au Conservatoire de Strasbourg. Il intègre en 2009 la classe de Sophie Cherrier au Conservatoire de Paris (cnsmdp) et y entame le Doctorat d’artiste-interprète dispensé conjointement par le Conservatoire et l’Université Paris IV Sorbonne.
Matteo Cesari obtient en 2006 la bourse d’études Severino Gazzelloni ainsi que le Prix pour la meilleure interprétation de la Sequenza I de Luciano Berio. L’année suivante, il remporte le Concours international de musique contemporaine Fernando Mencherini et obtient en 2008 la bourse du 44e Internationale Ferienkurse für Neue Musik à Darmstadt, ainsi que le Premier prix au 12 Concours internationale de musique contemporaine de Cracovie (Pologne). En avril 2009, il est finaliste de la Gaudeamus Interpreters Competition, à Amsterdam (Pays-Bas).
Il a pris part à différents festivals : Il Suono di una mano sola à Cagli, Musica à Strasbourg, Rassegna Nuova Musica à Macerata, Arte Scienza à Rome, Festival Traiettorie à Parme, Festival MiTo à Milan et Turin, et a collaboré ou joué en tant que soliste avec des ensembles tels qu’Accroche Note, Algoritmo dirigé par Marco Angius ou l’Ensemble Risognanze dirigé par Tito Ceccherini. Il a déjà travaillé avec quelques-uns des compositeurs les plus reconnus de son époque comme Salvatore Sciarrino, Ivan Fedele et Brian Ferneyhough.
Matteo Cesari a récemment enregistré chez Kairos (sortie prévue en 2010) un disque dédié à Sciarrino, prenant ainsi part à la monumentale pièce Studi per l’Intonazione del Mare pour 4 flûtes solo, 4 saxophones solo, voix, percussions, 100 flûtes et 100 saxophones. Il tiendra en 2010 à Milan la partie de flûte solo dans ...explosante-fixe... de Pierre Boulez dirigé par Pierre-André Valade.
Raquel Camarinha Rosa, soprano
La soprano portugaise Raquel Camarinha Rosa est née à Braga en 1986. Elle commence ses études vocales en 2000 à Escola de Música da Póvoa de Varzim où elle obtient un 1er Prix de Chant avec les félicitations du Jury en 2004. En 2009, elle termine une licence de Musique - Chant à l’université d'Aveiro, dans la classe d’António Salgado.
Elle intègre le Conservatoire de Paris (cnsmdp) en 2009, dans la classe de Chantal Mathias et mène en parallèle un doctorat en musique à l’université d'Aveiro.
Raquel Camarinha a été lauréate du prix José Augusto Alegria, du concours de chant lyrique de la Fondation Rotary Portugaise et du prix Jeunes Musiciens au Portugal.
Son répertoire s’étend de la musique baroque au contemporain. Raquel Camarinha a interprété le rôle de Pamina (Die Zauberflöte), de Zerlina (Don Giovanni), d'Eurydice (Orphée aux Enfers) ou encore de Polly (Die Dreigroschenoper)... Elle a interprété en tant que soliste la Passion selon Saint-Mathieu et les Cantates 51 et 93 de Bach, Die Jahreszeiten et Die Schöpfung de Haydn et Stabat Mater de Pärt... Curieuse du nouveau répertoire, elle a créé plusieurs œuvres de compositeurs portugais, notamment deux opéras de Luís Tinoco, Evil Machines (2008) et Paint Me (2010), aux Theâtres S. Luiz et Culturgest à Lisbonne. Raquel Camarinha se produit régulièrement en concert au Portugal et en Europe. (fr)
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Stefanos Thomopoulos, piano
Salué par la presse comme un pianiste saisissant, Stephanos Thomopoulos, né en Grèce, est aujourd’hui un des pianistes les plus reconnus de son pays. Il fait ses études à la Musikhochschüle de Cologne, au Conservatoire de Paris (cnsmdp) et au Conservatoire d’Amsterdam. Ses professeurs principaux sont Jacques Rouvier et Marie Françoise Bucquet, tandis qu’il reçoit également les conseils de musiciens tels que Dimitri Bashkirov, Aldo Ciccolini, John O’Conor.
Lauréat de concours internationaux (Maria Canals, Holland Music Sessions, Yamaha Music Foundation), il se produit dans plusieurs pays européens aux Etats-Unis et en Amérique du Sud, et dans des salles importantes (Concertgebouw d’Amsterdam, Mégaron d’Athènes et Thessalonique, Théâtre antique d’Epidaure en Grèce, Salle Cortot, Salle Gaveau, Auditorium du Musée d’Orsay, Unesco à Paris, Palais des Festivals à Santander). Il est invité dans de nombreux festivals dont Piano à Auxerre, Les Dominicains de Haute Alsace, les Rencontres musicales de Santander, le Festival d’Athènes, le Festival de piano et le Festival Dimitria de Thessalonique en Grèce, The New Masters on tour en Hollande. Il joue avec les Orchestres nationaux d’Athènes et Thessalonique, l’Orchestre national de Belgrade, la Camerata d’Athènes, l’Orchestre de chambre néerlandais, l’Orchestre philharmonique d’Odessa, l’Orchestre de la Radio hellénique. Il a enregistré des œuvres d’Alexandre Scriabine pour le Mécénat de la Société Générale et des œuvres de Manos Hadjidakis pour la Fondation italienne CIMA. Son répertoire s’étend sur une large partie de la littérature pianistique, avec une prédilection pour la musique du XXe siècle, et surtout la musique contemporaine de son pays : Iannis Xenakis, Manos Hadjidakis, Mikis Theodorakis, Giorgos Koumendakis.
Matteo Cesari, flûte
Après avoir obtenu en 2004 son diplôme de soliste à Bologne (Italie), Matteo Cesari poursuit ses études à Modène (Italie) auprès de Michele Marasco et Andrea Oliva et obtient un diplôme universitaire en études musicales (mention très bien avec félicitations du jury) avec une thèse sur les lectures de Luciano Berio à Harvard. Il obtient également un Premier prix ainsi qu’un Master en interprétation au Conservatoire de Strasbourg. Il intègre en 2009 la classe de Sophie Cherrier au Conservatoire de Paris (cnsmdp) et y entame le Doctorat d’artiste-interprète dispensé conjointement par le Conservatoire et l’Université Paris IV Sorbonne.
Matteo Cesari obtient en 2006 la bourse d’études Severino Gazzelloni ainsi que le Prix pour la meilleure interprétation de la Sequenza I de Luciano Berio. L’année suivante, il remporte le Concours international de musique contemporaine Fernando Mencherini et obtient en 2008 la bourse du 44e Internationale Ferienkurse für Neue Musik à Darmstadt, ainsi que le Premier prix au 12 Concours internationale de musique contemporaine de Cracovie (Pologne). En avril 2009, il est finaliste de la Gaudeamus Interpreters Competition, à Amsterdam (Pays-Bas).
Il a pris part à différents festivals : Il Suono di una mano sola à Cagli, Musica à Strasbourg, Rassegna Nuova Musica à Macerata, Arte Scienza à Rome, Festival Traiettorie à Parme, Festival MiTo à Milan et Turin, et a collaboré ou joué en tant que soliste avec des ensembles tels qu’Accroche Note, Algoritmo dirigé par Marco Angius ou l’Ensemble Risognanze dirigé par Tito Ceccherini. Il a déjà travaillé avec quelques-uns des compositeurs les plus reconnus de son époque comme Salvatore Sciarrino, Ivan Fedele et Brian Ferneyhough.
Matteo Cesari a récemment enregistré chez Kairos (sortie prévue en 2010) un disque dédié à Sciarrino, prenant ainsi part à la monumentale pièce Studi per l’Intonazione del Mare pour 4 flûtes solo, 4 saxophones solo, voix, percussions, 100 flûtes et 100 saxophones. Il tiendra en 2010 à Milan la partie de flûte solo dans ...explosante-fixe... de Pierre Boulez dirigé par Pierre-André Valade.
Raquel Camarinha Rosa, soprano
La soprano portugaise Raquel Camarinha Rosa est née à Braga en 1986. Elle commence ses études vocales en 2000 à Escola de Música da Póvoa de Varzim où elle obtient un 1er Prix de Chant avec les félicitations du Jury en 2004. En 2009, elle termine une licence de Musique - Chant à l’université d'Aveiro, dans la classe d’António Salgado.
Elle intègre le Conservatoire de Paris (cnsmdp) en 2009, dans la classe de Chantal Mathias et mène en parallèle un doctorat en musique à l’université d'Aveiro.
Raquel Camarinha a été lauréate du prix José Augusto Alegria, du concours de chant lyrique de la Fondation Rotary Portugaise et du prix Jeunes Musiciens au Portugal.
Son répertoire s’étend de la musique baroque au contemporain. Raquel Camarinha a interprété le rôle de Pamina (Die Zauberflöte), de Zerlina (Don Giovanni), d'Eurydice (Orphée aux Enfers) ou encore de Polly (Die Dreigroschenoper)... Elle a interprété en tant que soliste la Passion selon Saint-Mathieu et les Cantates 51 et 93 de Bach, Die Jahreszeiten et Die Schöpfung de Haydn et Stabat Mater de Pärt... Curieuse du nouveau répertoire, elle a créé plusieurs œuvres de compositeurs portugais, notamment deux opéras de Luís Tinoco, Evil Machines (2008) et Paint Me (2010), aux Theâtres S. Luiz et Culturgest à Lisbonne. Raquel Camarinha se produit régulièrement en concert au Portugal et en Europe. (fr)
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