About: Orchestre de Paris - Christoph Eschenbach     Goto   Sponge   NotDistinct   Permalink

An Entity of Type : mus:M26_Foreseen_Performance, within Data Space : data.doremus.org associated with source document(s)

AttributesValues
type
label
  • Orchestre de Paris - Christoph Eschenbach
comment
  • C’est Lorin Maazel qui dirigea la première 39e, Paul Paray la 40e, Herbert von Karajan la 41e. C’est dire que ces œuvres sont depuis toujours au répertoire de l’Orchestre de Paris. Il faut néanmoins admettre que Mozart glisse plus facilement ses concertos pour piano que ses symphonies dans les concerts. Et jamais ces trois partitions n’avaient été ainsi réunies. Christoph Eschenbach avait naguère consacré une partie de sa programmation à Philadelphie aux symphonies ultimes, celle de Schubert, celle de Mahler... Ces trois-là sont les dernières de Mozart, elles ne font qu’une tant elles furent jetées sur le papier dans l’urgence : six semaines à peine... Les jouer ensemble, c’est un peu vouloir ne pas choisir, ne pas renoncer. C’est un peu les goûter, les comparer comme du vin. La 39e, une très terrestre et parfaite horlogerie. La 40e, une course-poursuite aux rares répits, dont le premier thème, archi-connu mais trop souvent sonnette, retrouve en concert son bain symphonique d’origine. La 41e opératique, véritable ballet d’ombres. Les réunir, c’est aussi mesurer le sens du travail d’écriture, observer la symphonie comme construction avec ses différents choix d’architecture. C’est se faire Beethoven, rongeant son frein, impatient de faire exploser cette forme bien dosée. Un soir, se faire compositeur. (fr)
P69 has association with
prov:wasDerivedFrom
P2 has type
  • concert (fr)
U8 foresees time-span
prov:wasAttributedTo
prov:wasGeneratedBy
U77 foresees performing plan
P102 has title
  • Orchestre de Paris - Christoph Eschenbach
U7 foresees place at
U67 has subtitle
  • Les trois dernières symphonies de Mozart
dc:identifier
  • e11705
P3 has note
  • C’est Lorin Maazel qui dirigea la première 39e, Paul Paray la 40e, Herbert von Karajan la 41e. C’est dire que ces œuvres sont depuis toujours au répertoire de l’Orchestre de Paris. Il faut néanmoins admettre que Mozart glisse plus facilement ses concertos pour piano que ses symphonies dans les concerts. Et jamais ces trois partitions n’avaient été ainsi réunies. Christoph Eschenbach avait naguère consacré une partie de sa programmation à Philadelphie aux symphonies ultimes, celle de Schubert, celle de Mahler... Ces trois-là sont les dernières de Mozart, elles ne font qu’une tant elles furent jetées sur le papier dans l’urgence : six semaines à peine... Les jouer ensemble, c’est un peu vouloir ne pas choisir, ne pas renoncer. C’est un peu les goûter, les comparer comme du vin. La 39e, une très terrestre et parfaite horlogerie. La 40e, une course-poursuite aux rares répits, dont le premier thème, archi-connu mais trop souvent sonnette, retrouve en concert son bain symphonique d’origine. La 41e opératique, véritable ballet d’ombres. Les réunir, c’est aussi mesurer le sens du travail d’écriture, observer la symphonie comme construction avec ses différents choix d’architecture. C’est se faire Beethoven, rongeant son frein, impatient de faire exploser cette forme bien dosée. Un soir, se faire compositeur. (fr)
foaf:isPrimaryTopicOf
Faceted Search & Find service v1.16.112 as of Mar 01 2023


Alternative Linked Data Documents: ODE     Content Formats:   [cxml] [csv]     RDF   [text] [turtle] [ld+json] [rdf+json] [rdf+xml]     ODATA   [atom+xml] [odata+json]     Microdata   [microdata+json] [html]    About   
This material is Open Knowledge   W3C Semantic Web Technology [RDF Data] Valid XHTML + RDFa
OpenLink Virtuoso version 07.20.3236 as of Mar 1 2023, on Linux (x86_64-pc-linux-musl), Single-Server Edition (126 GB total memory, 6 GB memory in use)
Data on this page belongs to its respective rights holders.
Virtuoso Faceted Browser Copyright © 2009-2024 OpenLink Software