Attributes | Values |
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type
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label
| - Insula Orchestra - Laurence Equilbey
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comment
| - Genre hybride, la "symphonie concertante" était très en vogue à Paris lorsque Mozart, après une tournée qui l’avait mené dans la capitale française, écrivit en 1779 cette partition célèbre. Laurence Equilbey dirige également une ouverture de Fanny Mendelssohn, composée vers 1830 et jouée pour la première fois en… 1986.
Insula orchestra, le dernier-né de Laurence Equilbey, orchestre sur instruments d’époque dédié aux compositeurs de la "Goethe Generation" – à savoir, de la mort de Bach à celle de Schubert –, invite la violoniste Veronika Eberle et l’altiste Antoine Tamestit pour la Symphonie concertante de Mozart. Écrite à la fin des années 1770, celle-ci représente l’une des plus belles illustrations de ce genre hybride, pratiqué à Paris, qui hésite entre symphonie, concerto et concerto grosso. L’orchestre interprète également la Quatrième Symphonie de Schubert, dite "tragique", œuvre de jeunesse qui fut créée plus de trente ans après sa composition, et une ouverture de Fanny Mendelssohn, écrite vers 1830 mais pas jouée avant… 1986. (fr)
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Insula orchestra, le dernier-né de Laurence Equilbey, orchestre sur instruments d’époque dédié aux compositeurs de la "Goethe Generation" – à savoir, de la mort de Bach à celle de Schubert –, invite la violoniste Veronika Eberle et l’altiste Antoine Tamestit pour la Symphonie concertante de Mozart. Écrite à la fin des années 1770, celle-ci représente l’une des plus belles illustrations de ce genre hybride, pratiqué à Paris, qui hésite entre symphonie, concerto et concerto grosso. L’orchestre interprète également la Quatrième Symphonie de Schubert, dite "tragique", œuvre de jeunesse qui fut créée plus de trente ans après sa composition, et une ouverture de Fanny Mendelssohn, écrite vers 1830 mais pas jouée avant… 1986. (fr)
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