Attributes | Values |
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type
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label
| - Orchestre des Champs-Elysées
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comment
| - Dans la foulée des grands pionniers tel Nikolaus Harnoncourt, Philippe Herreweghe s’est lancé tôt dans la fondation d’ensembles vocaux et instrumentaux destinés à l’interprétation du répertoire baroque. Mais, rapidement, le chef flamand a élargi ce répertoire vers la Renaissance et le classicisme puis jusqu’au romantisme et au XXe siècle. Avec La Chapelle Royale, qu’il fonde en 1977, puis avec l’Orchestre des Champs-Élysées à partir de 1991, le chef flamand étend l’application du travail initié par les théoriciens du mouvement baroque à des répertoires qui bénéficient ainsi d’une démarche respectueuse du texte musical autant que du contexte historique de production des oeuvres. De Bach à Mendelssohn et de Brahms à Mahler, Philippe Herreweghe s’applique à retrouver pour chaque époque l’équilibre des lignes et du contrepoint.
Depuis quelques années, Schumann le requiert particulièrement, comme en témoignent son récent enregistrement des première et troisième symphonies, venues rejoindre chez Harmonia Mundi les gravures plus anciennes des Scènes de Faust, des deux autres symphonies ou du Concerto pour violoncelle. À l’époque (1996), il confiait la partie soliste de ce dernier à une autre figure du mouvement baroque, Christophe Coin. Cette fois, comme l’an dernier pour le concerto de Haydn, l’Orchestre des Champs-Élysées accueille le violoncelliste Jean-Guihen Queyras, fin musicien également ouvert à un vaste répertoire. (fr)
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| - Dans la foulée des grands pionniers tel Nikolaus Harnoncourt, Philippe Herreweghe s’est lancé tôt dans la fondation d’ensembles vocaux et instrumentaux destinés à l’interprétation du répertoire baroque. Mais, rapidement, le chef flamand a élargi ce répertoire vers la Renaissance et le classicisme puis jusqu’au romantisme et au XXe siècle. Avec La Chapelle Royale, qu’il fonde en 1977, puis avec l’Orchestre des Champs-Élysées à partir de 1991, le chef flamand étend l’application du travail initié par les théoriciens du mouvement baroque à des répertoires qui bénéficient ainsi d’une démarche respectueuse du texte musical autant que du contexte historique de production des oeuvres. De Bach à Mendelssohn et de Brahms à Mahler, Philippe Herreweghe s’applique à retrouver pour chaque époque l’équilibre des lignes et du contrepoint.
Depuis quelques années, Schumann le requiert particulièrement, comme en témoignent son récent enregistrement des première et troisième symphonies, venues rejoindre chez Harmonia Mundi les gravures plus anciennes des Scènes de Faust, des deux autres symphonies ou du Concerto pour violoncelle. À l’époque (1996), il confiait la partie soliste de ce dernier à une autre figure du mouvement baroque, Christophe Coin. Cette fois, comme l’an dernier pour le concerto de Haydn, l’Orchestre des Champs-Élysées accueille le violoncelliste Jean-Guihen Queyras, fin musicien également ouvert à un vaste répertoire. (fr)
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