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| - Deux ans et quelques nuits après sa formation, le groupe sort aujourd'hui son 1er maxi : Baden Baden pose les premières pierres de sa carrière, bien prometteuse aux dires de ceux qui y prêtent déjà une attention toute singulière.
Le plan de départ est d'une pureté enfantine : jouer la musique qu'on aime. Tracer des constantes et s'amuser des bifurcations. Inviter le monde dans sa maison. Comment en sont-ils arrivés, au final, à dresser un pont entre Alain Souchon et Sigur Rós, bienheureux qui pourra répondre à la question.
Cet EP est un édifice à la structure complexe, l'œuvre d'un architecte qui a un sens absolu du détail. C'est la quête de la ferveur qui cimente, la minutie qui ornemente. L'anglais vous accueille à l'entrée, le français vous attend au tournant. La musique de Baden Baden est une perspective où les lignes sont en fuite.
Une fois dedans, on se fait ballotter : on croit pouvoir se laisser porter par "Anyone" comme une foule par un hymne fédérateur, mais "Alice" nous attrape par le bras et nous fait remonter tout un défilé de sentiments contradictoires. "78" résonne des trompettes d'une renommée perdue, jusqu'à ce que l'avenir reprenne le dessus : "TV" résume la fougue de la jeunesse, et sa bêtise intempestive. "Tout Est Bien" est une adresse du passé au présent, un message improbable aux abonnés absents. "The Book" renferme les histoires qu'il reste, peut-être, à écrire.
C'est sur scène que le groupe veut continuer de se construire : des nouvelles tournures que prendront les chansons de ce maxi aux ébauches de celles qui constitueront l'album à venir, on risque de se perdre en live, bien volontiers. (fr)
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| - Scène découverte Jeunes Talents
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| - Deux ans et quelques nuits après sa formation, le groupe sort aujourd'hui son 1er maxi : Baden Baden pose les premières pierres de sa carrière, bien prometteuse aux dires de ceux qui y prêtent déjà une attention toute singulière.
Le plan de départ est d'une pureté enfantine : jouer la musique qu'on aime. Tracer des constantes et s'amuser des bifurcations. Inviter le monde dans sa maison. Comment en sont-ils arrivés, au final, à dresser un pont entre Alain Souchon et Sigur Rós, bienheureux qui pourra répondre à la question.
Cet EP est un édifice à la structure complexe, l'œuvre d'un architecte qui a un sens absolu du détail. C'est la quête de la ferveur qui cimente, la minutie qui ornemente. L'anglais vous accueille à l'entrée, le français vous attend au tournant. La musique de Baden Baden est une perspective où les lignes sont en fuite.
Une fois dedans, on se fait ballotter : on croit pouvoir se laisser porter par "Anyone" comme une foule par un hymne fédérateur, mais "Alice" nous attrape par le bras et nous fait remonter tout un défilé de sentiments contradictoires. "78" résonne des trompettes d'une renommée perdue, jusqu'à ce que l'avenir reprenne le dessus : "TV" résume la fougue de la jeunesse, et sa bêtise intempestive. "Tout Est Bien" est une adresse du passé au présent, un message improbable aux abonnés absents. "The Book" renferme les histoires qu'il reste, peut-être, à écrire.
C'est sur scène que le groupe veut continuer de se construire : des nouvelles tournures que prendront les chansons de ce maxi aux ébauches de celles qui constitueront l'album à venir, on risque de se perdre en live, bien volontiers. (fr)
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