Attributes | Values |
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type
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label
| - Les Siècles / François-Xavier Roth / Alain Planès
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comment
| - « Ouïs toute la lumière / Qu’y soufflera Debussy », écrivait Mallarmé dans un quatrain de remerciement pour une mise en musique devenue bien plus connue que son poème. De fait, le Prélude à l’après-midi d’un faune (1894) ne cesse de varier la lumière qui baigne le retour du langoureux motif chromatique caractérisant la divinité champêtre.
Dans Phonus ou la Voix du Faune (2003-2004, pour flûte et orchestre), Philippe Hurel fait certes référence à la thématique du Prélude de Debussy, en se livrant à des variations sur son chromatisme. Mais le compositeur dit s’être surtout « laissé guider par des impressions, des sensations de couleurs ». S’attachant lui aussi à changer d’éclairage harmonique tout au long de l’oeuvre, il s’inscrit également dans « un principe de réitération très cher à Debussy » : des motifs mis en boucle, selon la technique du loop que Hurel avait par ailleurs explorée dans une série de pièces portant ce titre. (fr)
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Dans Phonus ou la Voix du Faune (2003-2004, pour flûte et orchestre), Philippe Hurel fait certes référence à la thématique du Prélude de Debussy, en se livrant à des variations sur son chromatisme. Mais le compositeur dit s’être surtout « laissé guider par des impressions, des sensations de couleurs ». S’attachant lui aussi à changer d’éclairage harmonique tout au long de l’oeuvre, il s’inscrit également dans « un principe de réitération très cher à Debussy » : des motifs mis en boucle, selon la technique du loop que Hurel avait par ailleurs explorée dans une série de pièces portant ce titre. (fr)
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