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| - Outre sa longévité exceptionnelle, qui lui permit de créer pendant 84 années, Elliot Carter est souvent qualifié de plus européen des compositeurs américains. Les solistes de l’EIC lui rendent hommage dans ce concert monographique.
Elliott Carter a lié avec les solistes de l’Ensemble intercontemporain des liens étroits et durables, la preuve : le deuxième concert de l’EIC à Paris lui était tout entier consacré. En témoigne Esprit rude/Esprit doux II, deuxième version d’une pièce créée à l’occasion du soixantième anniversaire de Pierre Boulez par les solistes de l’EIC, qui s’appuie sur le motif obtenu à partir des lettres du nom de son dédicataire. À l’exception des Huit Études et une Fantaisie, composées en 1949 à l’intention des élèves de sa classe qui manquaient selon lui de fantaisie dans leur écriture pour vent, l’essentiel des œuvres au programme de ce concert-hommage appartiennent à la dernière et riche période créatrice du compositeur. Elles portent toutes la marque de ce génie indiscutable de la concision et de la liberté instrumentale, de l’écriture soliste et chambriste : le discours y est ramassé, intense, ciselé — plein d’humour et de profondeur. (fr)
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| - Outre sa longévité exceptionnelle, qui lui permit de créer pendant 84 années, Elliot Carter est souvent qualifié de plus européen des compositeurs américains. Les solistes de l’EIC lui rendent hommage dans ce concert monographique.
Elliott Carter a lié avec les solistes de l’Ensemble intercontemporain des liens étroits et durables, la preuve : le deuxième concert de l’EIC à Paris lui était tout entier consacré. En témoigne Esprit rude/Esprit doux II, deuxième version d’une pièce créée à l’occasion du soixantième anniversaire de Pierre Boulez par les solistes de l’EIC, qui s’appuie sur le motif obtenu à partir des lettres du nom de son dédicataire. À l’exception des Huit Études et une Fantaisie, composées en 1949 à l’intention des élèves de sa classe qui manquaient selon lui de fantaisie dans leur écriture pour vent, l’essentiel des œuvres au programme de ce concert-hommage appartiennent à la dernière et riche période créatrice du compositeur. Elles portent toutes la marque de ce génie indiscutable de la concision et de la liberté instrumentale, de l’écriture soliste et chambriste : le discours y est ramassé, intense, ciselé — plein d’humour et de profondeur. (fr)
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