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| - Sur des orchestrations signées Patrice Caratini dont on connaît le travail sur les "grands textes" du jazz, la chorégraphe
Raphaelle Delaunay part à la rencontre de Joséphine Baker et de Sidney Bechet.
Deux créoles, deux destins liés par la musique et la danse, qu’elle se plait à imaginer tous deux à bord du même bateau qui les amenait d’une Amérique ségrégationniste vers une France qui en fera des héros. Josephine Baker, surtout, l’a toujours accompagnée, confie-t-elle : "dans mon imaginaire de jeune danseuse en quête de repères, puis dans ma demarche de chorégraphe depuis que je travaille sur le vaste terreau des danses afro-américaines". Déjà dans ses
spectacles précédents comme Bitter Sugar, on trouvait des pas inspirés des "danses animalières" popularisées par Joséphine, "du trot de la dinde à la glissade du singe". Façon d’affirmer, pour Raphaëlle Delaunay, que le jazz est aussi un "art de l’emprunt" : "Joséphine elle-même reproduisait des danses apprises dans la rue."
Pour mettre en musique cette création, Patrice Caratini réunit sur scène un orchestre de six musiciens, où s'illustrent la clarinette créole, le piano de la Mazurka et le trombone de Tiger Rag. (fr)
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Raphaelle Delaunay part à la rencontre de Joséphine Baker et de Sidney Bechet.
Deux créoles, deux destins liés par la musique et la danse, qu’elle se plait à imaginer tous deux à bord du même bateau qui les amenait d’une Amérique ségrégationniste vers une France qui en fera des héros. Josephine Baker, surtout, l’a toujours accompagnée, confie-t-elle : "dans mon imaginaire de jeune danseuse en quête de repères, puis dans ma demarche de chorégraphe depuis que je travaille sur le vaste terreau des danses afro-américaines". Déjà dans ses
spectacles précédents comme Bitter Sugar, on trouvait des pas inspirés des "danses animalières" popularisées par Joséphine, "du trot de la dinde à la glissade du singe". Façon d’affirmer, pour Raphaëlle Delaunay, que le jazz est aussi un "art de l’emprunt" : "Joséphine elle-même reproduisait des danses apprises dans la rue."
Pour mettre en musique cette création, Patrice Caratini réunit sur scène un orchestre de six musiciens, où s'illustrent la clarinette créole, le piano de la Mazurka et le trombone de Tiger Rag. (fr)
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