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| - Épris des contrées aux paysages grandioses et sauvages du Nord, les musiciens de l’époque romantique nous invitent au dépaysement. Felix Mendelssohn tomba amoureux des côtes écossaises et Hector Berlioz se prit d’une folle passion pour les poèmes irlandais.
Mendelssohn, à qui on demanda de décrire ce que lui inspiraient les paysages de l’archipel des Hébrides, fit cette réponse : « Cela ne peut pas se décrire, seulement se jouer. » Il peint avec des notes les reflets de l’eau sur la partition qui devint l’ouverture Les Hébrides. Par la suite, sa Troisième Symphonie, hommage aux Highlands écossais, recrée, selon ses dires, « une ambiance de brumes écossaises ». Berlioz n’avait que vingt-quatre ans lorsqu’il mit en musique un recueil de poésies irlandaises, autant de ballades et de légendes, mélancoliques et passionnées à la fois. Chaque phrase porte une expression et le compositeur Arthur Lavandier, qui a déjà réalisé un arrangement libre de la Symphonie fantastique de Berlioz, a choisi d’orchestrer ces fameuses Mélodies irlandaises. (fr)
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| - Orchestre de chambre de Paris - Douglas Boyd - Karine Deshayes - Joanne McIver - Mendelssohn, Berlioz
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| - Épris des contrées aux paysages grandioses et sauvages du Nord, les musiciens de l’époque romantique nous invitent au dépaysement. Felix Mendelssohn tomba amoureux des côtes écossaises et Hector Berlioz se prit d’une folle passion pour les poèmes irlandais.
Mendelssohn, à qui on demanda de décrire ce que lui inspiraient les paysages de l’archipel des Hébrides, fit cette réponse : « Cela ne peut pas se décrire, seulement se jouer. » Il peint avec des notes les reflets de l’eau sur la partition qui devint l’ouverture Les Hébrides. Par la suite, sa Troisième Symphonie, hommage aux Highlands écossais, recrée, selon ses dires, « une ambiance de brumes écossaises ». Berlioz n’avait que vingt-quatre ans lorsqu’il mit en musique un recueil de poésies irlandaises, autant de ballades et de légendes, mélancoliques et passionnées à la fois. Chaque phrase porte une expression et le compositeur Arthur Lavandier, qui a déjà réalisé un arrangement libre de la Symphonie fantastique de Berlioz, a choisi d’orchestrer ces fameuses Mélodies irlandaises. (fr)
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