Attributes | Values |
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type
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label
| - SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg / Jonathan Stockhammer
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comment
| - John Cage écrivit Seventy-Four en mars 1992, quelques mois avant sa mort. Comme dans l’ensemble de la série des Number Pieces, le titre indique le nombre de musiciens. Simple et largement indéterminée, la pièce est comme un flux variable de couleurs changeantes, qui s’offrent à la contemplation.
Les Requiem Canticles (littéralement : « cantiques de requiem ») sont également la dernière grande oeuvre de Stravinski, composée en 1965-1966 à l’âge de
quatre-vingt-quatre ans. Un monument funèbre, une déploration.
La mélancolie, jusqu’ici diffuse, devient le thème explicite de l’« opératorio » de Pascal Dusapin, La Melancholia (1991). Puisant largement dans l’ouvrage d’Erwin Panofsky, Saturne et la Mélancolie, le compositeur a lui-même construit son texte comme un montage de fragments d’auteurs divers – de Shakespeare à saint Ambroise –, mais aussi de textes anonymes. Véritable radiographie d’un affect – ou plutôt des effets d’une humeur : la bile noire –, La Melancholia de Dusapin déploie une vaste palette d’expressions vocales et instrumentales. (fr)
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| - SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg / Jonathan Stockhammer
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| - Pascal Dusapin/John Cage/Igor Stravinski
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P3 has note
| - John Cage écrivit Seventy-Four en mars 1992, quelques mois avant sa mort. Comme dans l’ensemble de la série des Number Pieces, le titre indique le nombre de musiciens. Simple et largement indéterminée, la pièce est comme un flux variable de couleurs changeantes, qui s’offrent à la contemplation.
Les Requiem Canticles (littéralement : « cantiques de requiem ») sont également la dernière grande oeuvre de Stravinski, composée en 1965-1966 à l’âge de
quatre-vingt-quatre ans. Un monument funèbre, une déploration.
La mélancolie, jusqu’ici diffuse, devient le thème explicite de l’« opératorio » de Pascal Dusapin, La Melancholia (1991). Puisant largement dans l’ouvrage d’Erwin Panofsky, Saturne et la Mélancolie, le compositeur a lui-même construit son texte comme un montage de fragments d’auteurs divers – de Shakespeare à saint Ambroise –, mais aussi de textes anonymes. Véritable radiographie d’un affect – ou plutôt des effets d’une humeur : la bile noire –, La Melancholia de Dusapin déploie une vaste palette d’expressions vocales et instrumentales. (fr)
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