Attributes | Values |
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type
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label
| - Budapest Festival Orchestra
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comment
| - Limpidité classique des textures et chaleur romantique du son, sens de l’architecture et puissance émotionnelle, tel est le Brahms de l’Orchestre du Festival de Budapest guidé par son chef Iván Fischer. À entendre dans les symphonies.
En 2008, un aréopage d’éminents critiques musicaux chapeautés par le magazine anglais Gramophone avait rangé le Budapest Festival Orchestra parmi les dix plus grands orchestres du monde. On peut regarder ces classements avec circonspection : il n’en est pas moins que celui-ci témoigne sans doute aucun de l’excellence de la phalange créée il y a un peu plus de trente ans par Iván Fischer et Zoltán Kocsis. Familière de la Salle Pleyel, celle-ci, dirigée par Fischer, toujours aussi amoureux de sa folie et de sa passion, se consacre pour ce nouveau concert à Brahms. Le compositeur, que les Hongrois pratiquent volontiers (il faut dire que Brahms, lui, pratiquait volontiers le style hongrois…), est représenté par ses deux dernières symphonies, véritable couronnement d’une courte dizaine d’années consacrée au genre. (fr)
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En 2008, un aréopage d’éminents critiques musicaux chapeautés par le magazine anglais Gramophone avait rangé le Budapest Festival Orchestra parmi les dix plus grands orchestres du monde. On peut regarder ces classements avec circonspection : il n’en est pas moins que celui-ci témoigne sans doute aucun de l’excellence de la phalange créée il y a un peu plus de trente ans par Iván Fischer et Zoltán Kocsis. Familière de la Salle Pleyel, celle-ci, dirigée par Fischer, toujours aussi amoureux de sa folie et de sa passion, se consacre pour ce nouveau concert à Brahms. Le compositeur, que les Hongrois pratiquent volontiers (il faut dire que Brahms, lui, pratiquait volontiers le style hongrois…), est représenté par ses deux dernières symphonies, véritable couronnement d’une courte dizaine d’années consacrée au genre. (fr)
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