Attributes | Values |
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type
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label
| - Tenzin Gönpo / Yungchen Lhamo
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comment
| - Yungchen Lhamo. Son nom, qui lui fut donné par un lama, signifie : « Déesse de la mélodie et du chant ». Yungchen Lhamo a fui son pays, à pied, en 1989. Depuis son premier album, Tibetan Prayer, et au fil de ses fascinants spectacles a cappella, elle s’est imposée comme la grande voix tibétaine.
Née dans un camp de travail près de Lhassa pendant l’occupation chinoise, elle a commencé à travailler dans une fabrique de tapis à l’âge de cinq ans.
Le chant tibétain avait été banni par la Révolution culturelle. C’est dans ce
contexte de répression que Yungchen reçut de sa grand-mère l’enseignement d’un art vocal religieux, qu’elle a emporté avec elle lors de sa dangereuse traversée de l’Himalaya, pour émigrer en Inde, où le dalaï-lama encourage son talent. « Quand j’ai quitté le Tibet, confie-t-elle, j’ai tout perdu, sauf ma voix… » De fait, en renonçant à tout accompagnement pour ses concerts, elle se concentre sur cette voix nue qui, de façon bouleversante, évoque les traditionnels thèmes tibétains du pélerinage spirituel ou de l’harmonie avec la nature. (fr)
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Née dans un camp de travail près de Lhassa pendant l’occupation chinoise, elle a commencé à travailler dans une fabrique de tapis à l’âge de cinq ans.
Le chant tibétain avait été banni par la Révolution culturelle. C’est dans ce
contexte de répression que Yungchen reçut de sa grand-mère l’enseignement d’un art vocal religieux, qu’elle a emporté avec elle lors de sa dangereuse traversée de l’Himalaya, pour émigrer en Inde, où le dalaï-lama encourage son talent. « Quand j’ai quitté le Tibet, confie-t-elle, j’ai tout perdu, sauf ma voix… » De fait, en renonçant à tout accompagnement pour ses concerts, elle se concentre sur cette voix nue qui, de façon bouleversante, évoque les traditionnels thèmes tibétains du pélerinage spirituel ou de l’harmonie avec la nature. (fr)
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