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| - Intégrale Hagen des quatuors de Beethoven, épisode 1. Près de seize ans séparent le quinzième du huitième : l’opus 132, en la mineur (1825), du deuxième Razumowsky de l’opus 59 (quatuor n°8), en mi mineur (1809). Le compositeur lui-même tenait son avant-dernier quatuor pour l’une des œuvres « les plus dignes de son nom ». Après avoir assumé l’héritage classique, il renouvelle et transcende ici magistralement le genre au point d’annoncer le langage abstrait de Schönberg, notamment dans un mouvement lent d’une vingtaine de minutes, « Chant de reconnaissance offert à la Divinité ». Parenté sublime avec le molto adagio du quatuor cadet, plus orthodoxe, dont Czerny disait qu’il formait une « méditation sur l’harmonie des sphères, face à la voûte étoilée ». (fr)
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| - Intégrale des quatuors à cordes de Beethoven
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P3 has note
| - Intégrale Hagen des quatuors de Beethoven, épisode 1. Près de seize ans séparent le quinzième du huitième : l’opus 132, en la mineur (1825), du deuxième Razumowsky de l’opus 59 (quatuor n°8), en mi mineur (1809). Le compositeur lui-même tenait son avant-dernier quatuor pour l’une des œuvres « les plus dignes de son nom ». Après avoir assumé l’héritage classique, il renouvelle et transcende ici magistralement le genre au point d’annoncer le langage abstrait de Schönberg, notamment dans un mouvement lent d’une vingtaine de minutes, « Chant de reconnaissance offert à la Divinité ». Parenté sublime avec le molto adagio du quatuor cadet, plus orthodoxe, dont Czerny disait qu’il formait une « méditation sur l’harmonie des sphères, face à la voûte étoilée ». (fr)
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