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| - La ville de Bâle peut s’enorgueillir d’être un exceptionnel berceau pour les orchestres. Aux côtés du vénérable Orchestre symphonique de Bâle, fondé en 1876 et redynamisé par sa fusion avec l’Orchestre Radio-Symphonique en 1997, l’Orchestre de chambre de Bâle (Kammerorchester Basel) fait perdurer dans la cité rhénane l’héritage de la formation fondée par le grand mécène et chef d’orchestre Paul Sacher, le célèbre Basler Kammerorchester, créateur entre autres d’oeuvres de Bartók (dont la Musique pour cordes, percussion et célesta et le Divertimento).
Depuis sa fondation en 1984, l’Orchestre de chambre de Bâle s’est attaché à défendre un vaste répertoire, incluant la création contemporaine. Cependant, c’est dans le domaine baroque qu’il s’est avant tout illustré en tournée, sur instruments d’époque et sous la direction de chefs rompus à ce répertoire tels Christopher Hogwood, Philippe Herreweghe, Ton Koopman, ou encore Paul McCreesh.
Sous la direction de David Stern, l’orchestre se présente ce soir en représentant de la grande tradition classique et romantique germanique. Deux partitions de Mendelssohn, l’ouverture Les Hébrides et la Symphonie « Écossaise », inspirées par un voyage en Écosse sur les pas de Walter Scott et du poète gaélique Ossian, encadrent le Vingt-troisième Concerto de Mozart. Habituée de la Salle Pleyel où elle joue Beethoven en compagnie de Sir John Eliot Gardiner, Maria-João Pires en sera la soliste, dépositaire d’un certain style classique, élégant et lumineux. (fr)
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| - La ville de Bâle peut s’enorgueillir d’être un exceptionnel berceau pour les orchestres. Aux côtés du vénérable Orchestre symphonique de Bâle, fondé en 1876 et redynamisé par sa fusion avec l’Orchestre Radio-Symphonique en 1997, l’Orchestre de chambre de Bâle (Kammerorchester Basel) fait perdurer dans la cité rhénane l’héritage de la formation fondée par le grand mécène et chef d’orchestre Paul Sacher, le célèbre Basler Kammerorchester, créateur entre autres d’oeuvres de Bartók (dont la Musique pour cordes, percussion et célesta et le Divertimento).
Depuis sa fondation en 1984, l’Orchestre de chambre de Bâle s’est attaché à défendre un vaste répertoire, incluant la création contemporaine. Cependant, c’est dans le domaine baroque qu’il s’est avant tout illustré en tournée, sur instruments d’époque et sous la direction de chefs rompus à ce répertoire tels Christopher Hogwood, Philippe Herreweghe, Ton Koopman, ou encore Paul McCreesh.
Sous la direction de David Stern, l’orchestre se présente ce soir en représentant de la grande tradition classique et romantique germanique. Deux partitions de Mendelssohn, l’ouverture Les Hébrides et la Symphonie « Écossaise », inspirées par un voyage en Écosse sur les pas de Walter Scott et du poète gaélique Ossian, encadrent le Vingt-troisième Concerto de Mozart. Habituée de la Salle Pleyel où elle joue Beethoven en compagnie de Sir John Eliot Gardiner, Maria-João Pires en sera la soliste, dépositaire d’un certain style classique, élégant et lumineux. (fr)
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