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type
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label
| - Orchestre Philharmonique de Radio France
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comment
| - Depuis 1791, Josef Haydn est à Londres, sous l’égide du violoniste et imprésario Johann Salomon ; son destin a complètement changé par rapport à ses trente années d’enfermement chez les Princes Esterhazy : il savoure pour la première fois sa renommée auprès du grand public, découvre les chefs-d’œuvre de Haendel, visite à Slough le télescope géant de Herschel et reste ébahi devant l’immensité de l’Univers. Optimisme ambiant dont rayonne la 97e Symphonie !
Le motet de Mozart « Exsultate, jubilate » écrit en 1773 à Milan est un véritable petit concerto vocal : on imagine sans peine la soprano remplacée par le violon, la flûte ou la clarinette !
En 1791, avec « Ach, ich fühl’s », extrait de La Flûte enchantée, Mozart fait d’ultimes prouesses opératiques. Il nous livre un air déchirant de déploration – Pamina croit perdre son amour – qui est à la fois un terrible chant de sirène, obstacle expressif posé à l’initiation de Tamino.
Composée en août 1788 la 41e symphonie en do majeur couronne le corpus et résout dans la lumière les tensions accumulées dans la précédente. (fr)
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| - Depuis 1791, Josef Haydn est à Londres, sous l’égide du violoniste et imprésario Johann Salomon ; son destin a complètement changé par rapport à ses trente années d’enfermement chez les Princes Esterhazy : il savoure pour la première fois sa renommée auprès du grand public, découvre les chefs-d’œuvre de Haendel, visite à Slough le télescope géant de Herschel et reste ébahi devant l’immensité de l’Univers. Optimisme ambiant dont rayonne la 97e Symphonie !
Le motet de Mozart « Exsultate, jubilate » écrit en 1773 à Milan est un véritable petit concerto vocal : on imagine sans peine la soprano remplacée par le violon, la flûte ou la clarinette !
En 1791, avec « Ach, ich fühl’s », extrait de La Flûte enchantée, Mozart fait d’ultimes prouesses opératiques. Il nous livre un air déchirant de déploration – Pamina croit perdre son amour – qui est à la fois un terrible chant de sirène, obstacle expressif posé à l’initiation de Tamino.
Composée en août 1788 la 41e symphonie en do majeur couronne le corpus et résout dans la lumière les tensions accumulées dans la précédente. (fr)
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