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Martha Argerich
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Martha Argerich (Buenos Aires, 5 de junio de 1941) es una pianista argentina de música académica, considerada una de los mayores exponentes de su generación y la posguerra. Especialmente célebre por sus interpretaciones de Frédéric Chopin, Franz Liszt, Johann Sebastian Bach, Robert Schumann, Maurice Ravel y Serguéi Prokófiev. Martha Argerich (Buenos Aires, 5 juni 1941) is een Argentijnse concertpianiste. مارثا آرغريتش (Martha Argerich) وُلدت في 5 يونيو 1941 في بوينس آيرس، الأرجنتين وهي عازفة بيانو أرجنتينية. マリア・マルタ・アルゲリッチ(Maria Martha Argerich, 1941年6月5日 - )はアルゼンチンのブエノスアイレス出身のピアニスト。現在、世界のクラシック音楽界で最も高い評価を受けているピアニストの一人である。 瑪塔·阿格麗希(西班牙语:Martha Argerich,1941年6月5日-)是一位來自阿根廷的鋼琴家。由於她對媒體和公眾場合的厭惡,使她大部分時間都保持遠離大眾的注目焦點;她很少接受訪問,儘管如此,她仍被視為當代最偉大的鋼琴大師之一。 Martha Argerich (ur. 5 czerwca 1941 w Buenos Aires) – argentyńska pianistka. Martha Argerich, née le 5 juin 1941 à Buenos Aires, est une pianiste argentine, naturalisée suisse. Enfant prodige du piano, elle a apporté à l'interprétation du répertoire romantique et moderne un souffle nouveau qui l'a propulsée rapidement sur le devant de la scène internationale. Plusieurs des grands concertos pour piano et orchestre tels ceux de Chopin, Schumann, Liszt, Tchaikovsky, Ravel, Prokofiev et Rachmaninov ont trouvé en Martha Argerich une interprète flamboyante et réfléchie. Fuyant la publicité, elle s'éloigne de la scène pendant une partie importante de sa carrière. Artiste exigeante et femme de caractère, elle n'accorde que peu d'entrevues, et ne joue plus, depuis quelques années, qu'en formation de musique de chambre ou avec orchestre. Elle est considérée comme une des pia Марта Аргерих (иначе — Аргерич; исп. Martha Argerich; род. 5 июня 1941, Буэнос-Айрес) — аргентинская пианистка. Martha Argerich (* 5. Juni 1941 in Buenos Aires) ist eine schweizerisch-argentinische Pianistin. Martha Argerich, née à Buenos Aires le 5 juin 1941, est une pianiste argentine. Elle déteste la publicité faite autour de son nom, ce qui l'a amenée à s'éloigner de la scène pendant une partie importante de sa carrière[1]. Artiste exigeante et femme de caractère, elle n'accorde que peu d'entretiens, et ne joue plus, depuis quelques années, qu'en formation de chambre ou avec orchestre. Elle est considérée comme une des pianistes les plus talentueuses des temps modernes[2]. Biographie Le nom d’Argerich est typiquement catalan, porté par plusieurs centaines de personnes en Catalogne espagnole[3]. Ses dons pour la musique sont remarqués dès l'âge de deux ans et demi. Elle est alors capable de reproduire au piano les partitions que son frère étudie ou rejoue immédiatement sur un piano un air qu'elle a entendu chanter[1]. Elle a la capacité, enfant, de jouer les octaves comme de simples notes (Eugène List). Sa mère la présente, à l'âge de cinq ans et contre son gré (la petite Martha voulait être médecin[4]), à Vincenzo Scaramuzza qui lui donnera ses premières leçons de piano et exacerbe chez elle sa sensibilité et son lyrisme naturels. En 1949, dès l'âge de huit ans, elle joue au cours d'un concert le Concerto pour piano n° 1 en do majeur, op. 15 de Beethoven, le Concerto pour piano n° 20 en ré mineur, K. 466 de Mozart ainsi que la Suite française n° 5 en sol majeur, BWV 816 de Bach. En 1955, la famille Argerich émigre en Europe. Grâce à une bourse octroyée par l’État argentin (à l’époque, dirigé par Juan Peron), la jeune Martha étudie avec les plus grands noms du piano à Londres, Vienne, Autriche et en Suisse : Bruno Seilhoffer, Friedrich Gulda, Nikita Magaloff, Mme Lipatti[1],[5]. Elle complètera sa formation auprès des plus grands pianistes : Arturo Benedetti Michelangeli et Stefan Askenase. En 1957, âgée de seulement 16 ans, elle remporte deux concours importants : le Concours international d'exécution musicale de Genève et le Concours Busoni à Bolzano[6] en l'espace de deux semaines[1]. C'est lors de ce dernier concours qu'elle rencontre Michelangeli auquel elle demandera des leçons quatre ans plus tard[2]. En 1965, elle crée la surprise lors du Concours international de piano Frédéric-Chopin de Varsovie en interprétant l'Étude op. 10 n° 1 de Chopin et une mazurka du même compositeur. Son incroyable maîtrise de l'instrument, son extrême sensibilité et sa technique hors pair lui font remporter trois prix[1] : le premier prix, le prix du public et celui de la meilleure interprétation des Mazurkas[7]. Les critiques comme les spectateurs ne tarissent pas d'éloges[8], [9] L'année suivante, elle débute une carrière professionnelle au Lincoln Center de New York Sauvage et rebelle, son indépendance – qu'elle revendique elle-même haut et fort – est un « cauchemar » pour les organisateurs de ses concerts : elle se désiste au dernier moment de façon impromptue et répétée, ou bien se présente pour son récital mais décide d'interpréter des œuvres qui ne sont pas au programme ou encore arrête son travail au gré de sa fantaisie tout en sachant que son activité de concertiste est programmée pour plusieurs mois. C'est ainsi qu'elle décide brutalement de prendre du repos de 1961 à 1965, après avoir donné naissance à son premier enfant, puis, à nouveau, entre 1973 et 1976[1]. Elle n'a jamais été poursuivie en rupture de contrat pour la simple raison que, jalouse de son indépendance, elle n'en a jamais signé[10]. Son caractère entier se manifeste jusque dans sa discographie : pas de grandes « suites » comme celles d'un Brendel, d'un Horowitz ou d'un Pollini. Elle interprète ce qu'elle aime en fonction de son inspiration. Martha Argerich a été mariée plusieurs fois : en premières noces avec Robert Chen dont elle aura une fille, Lyda Chen. De 1969 à 1973, elle est la femme du chef d'orchestre Charles Dutoit sous la direction duquel elle poursuit sa carrière de concertiste et discographique. De leur union naît son troisième enfant, Annie Du Martha Argerich (Buenos Aires, 5 de junho de 1941) é uma pianista argentina, naturalizada na Suíça, de ascendência judaica e catalã, considerada um dos maiores exponentes de sua geração e do período pós-guerra, destacando-se por suas interpretações de Frédéric Chopin, Franz Liszt, Johann Sebastian Bach, Robert Schumann, Maurice Ravel e Serguei Prokofiev. Um dos seus grandes amigos é o pianista brasileiro Nelson Freire, com quem tocou em duo em vários recitais. Argerich também teve uma participação no documentário Nelson Freire (2003), de João Moreira Salles. Martha Argerich (born June 5, 1941) is an Argentine pianist, widely regarded as one of the greatest pianists of the second half of the 20th century.
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Argerich, Martha (1941)
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Martha Argerich, née à Buenos Aires le 5 juin 1941, est une pianiste argentine. Elle déteste la publicité faite autour de son nom, ce qui l'a amenée à s'éloigner de la scène pendant une partie importante de sa carrière[1]. Artiste exigeante et femme de caractère, elle n'accorde que peu d'entretiens, et ne joue plus, depuis quelques années, qu'en formation de chambre ou avec orchestre. Elle est considérée comme une des pianistes les plus talentueuses des temps modernes[2]. Biographie Le nom d’Argerich est typiquement catalan, porté par plusieurs centaines de personnes en Catalogne espagnole[3]. Ses dons pour la musique sont remarqués dès l'âge de deux ans et demi. Elle est alors capable de reproduire au piano les partitions que son frère étudie ou rejoue immédiatement sur un piano un air qu'elle a entendu chanter[1]. Elle a la capacité, enfant, de jouer les octaves comme de simples notes (Eugène List). Sa mère la présente, à l'âge de cinq ans et contre son gré (la petite Martha voulait être médecin[4]), à Vincenzo Scaramuzza qui lui donnera ses premières leçons de piano et exacerbe chez elle sa sensibilité et son lyrisme naturels. En 1949, dès l'âge de huit ans, elle joue au cours d'un concert le Concerto pour piano n° 1 en do majeur, op. 15 de Beethoven, le Concerto pour piano n° 20 en ré mineur, K. 466 de Mozart ainsi que la Suite française n° 5 en sol majeur, BWV 816 de Bach. En 1955, la famille Argerich émigre en Europe. Grâce à une bourse octroyée par l’État argentin (à l’époque, dirigé par Juan Peron), la jeune Martha étudie avec les plus grands noms du piano à Londres, Vienne, Autriche et en Suisse : Bruno Seilhoffer, Friedrich Gulda, Nikita Magaloff, Mme Lipatti[1],[5]. Elle complètera sa formation auprès des plus grands pianistes : Arturo Benedetti Michelangeli et Stefan Askenase. En 1957, âgée de seulement 16 ans, elle remporte deux concours importants : le Concours international d'exécution musicale de Genève et le Concours Busoni à Bolzano[6] en l'espace de deux semaines[1]. C'est lors de ce dernier concours qu'elle rencontre Michelangeli auquel elle demandera des leçons quatre ans plus tard[2]. En 1965, elle crée la surprise lors du Concours international de piano Frédéric-Chopin de Varsovie en interprétant l'Étude op. 10 n° 1 de Chopin et une mazurka du même compositeur. Son incroyable maîtrise de l'instrument, son extrême sensibilité et sa technique hors pair lui font remporter trois prix[1] : le premier prix, le prix du public et celui de la meilleure interprétation des Mazurkas[7]. Les critiques comme les spectateurs ne tarissent pas d'éloges[8], [9] L'année suivante, elle débute une carrière professionnelle au Lincoln Center de New York Sauvage et rebelle, son indépendance – qu'elle revendique elle-même haut et fort – est un « cauchemar » pour les organisateurs de ses concerts : elle se désiste au dernier moment de façon impromptue et répétée, ou bien se présente pour son récital mais décide d'interpréter des œuvres qui ne sont pas au programme ou encore arrête son travail au gré de sa fantaisie tout en sachant que son activité de concertiste est programmée pour plusieurs mois. C'est ainsi qu'elle décide brutalement de prendre du repos de 1961 à 1965, après avoir donné naissance à son premier enfant, puis, à nouveau, entre 1973 et 1976[1]. Elle n'a jamais été poursuivie en rupture de contrat pour la simple raison que, jalouse de son indépendance, elle n'en a jamais signé[10]. Son caractère entier se manifeste jusque dans sa discographie : pas de grandes « suites » comme celles d'un Brendel, d'un Horowitz ou d'un Pollini. Elle interprète ce qu'elle aime en fonction de son inspiration. Martha Argerich a été mariée plusieurs fois : en premières noces avec Robert Chen dont elle aura une fille, Lyda Chen. De 1969 à 1973, elle est la femme du chef d'orchestre Charles Dutoit sous la direction duquel elle poursuit sa carrière de concertiste et discographique. De leur union naît son troisième enfant, Annie Du
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