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Louis Marchand
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Louis Marchand, né le 2 février 1669 à Lyon, mort le 17 février 1732 à Paris, est un compositeur, organiste et claveciniste français. De son temps, Louis Marchand est considéré en France comme le seul rival de François Couperin à l'orgue et au clavecin. Louis Marchand (* 2. Februar 1669 in Lyon; † 17. Februar 1732 in Paris) war ein französischer Cembalist, Organist und Komponist. Луи Марша́н (фр. Louis Marchand, 2 февраля 1669, Лион — 17 февраля 1732, Париж) — французский органист, клавесинист, композитор и музыкальный педагог эпохи барокко. Louis Marchand (Lyon, 2 februari 1669 - Parijs, 17 februari 1732) was een Frans orgel-componist uit de barok en organist Parijs. Hij gaf waarschijnlijk les aan Guilain. Louis Marchand (2 February 1669 – 17 February 1732) was a French Baroque organist, harpsichordist, and composer. Born into an organist's family, Marchand was a child prodigy and quickly established himself as one of the best known French virtuosi of his time. He worked as organist of numerous churches and, for a few years, at the French court. Marchand had a violent temperament and an arrogant personality, and his life was filled with scandals, publicized and widely discussed both during his lifetime and after his death. Despite his fame, few of his works survive to this day, and those that do almost all date from his early years. Nevertheless, a few pieces of his, such as the organ pieces Grand dialogue in C and Fond d'orgue in E minor, have been lauded as classic works of the French orga Louis Marchand (ur. 2 lutego 1669 w Lyonie, zm. 17 lutego 1732 w Paryżu) - organista, klawesynista i kompozytor francuski okresu baroku. Louis Marchand od 1685 lub 1689 roku pracował w Paryżu jako organista w różnych kościołach, a w latach 1706 – ok. 1716 na dworze królewskim. Jego uczniem był Louis-Claude Daquin. Wybrane kompozycje: 2 księgi Pièces de clavecin (Paryż 1702),12 Pièces choisies pour l'orgue (Paryż po 1732), a także kantaty i arie. Louis Marchand (Lyon, 2 de febrero de 1669 — París, 17 de febrero de 1732) fue un compositor, clavecinista y organista francés. Louis Marchand (Lyon, 02 de Fevereiro de 1669 - Paris, 17 de Fevereiro de 1732), foi um organista, cravista e compositor francês do Período Barroco. Filho de um organista, Marchand foi uma criança prodígio e rapidamente se estabeleceu como um dos mais conhecidos virtuoses franceses do seu tempo. Trabalhou como organista em numerosas igrejas e, por alguns anos, na Corte francesa. Marchand tinha um temperamento violento, personalidade arrogante e sua vida foi cheia de escândalos, divulgados e amplamente discutidos tanto durante sua vida quanto após sua morte. Apesar de sua fama, poucas de suas obras sobreviveram até os nossos dias, e várias são de seus primeiros anos. Das obras para Órgão, chegaram até nós, completas, cinco coleções ou "Livres d'Orgue". Algumas dessas peças foram louvadas co ルイ・マルシャン （Louis Marchand 1669年2月2日リヨン - 1732年2月17日パリ) はフランス・バロック音楽の作曲家、鍵盤楽器奏者。13歳で王宮オルガニストに任命されるほどの神童ぶりを発揮。 マルシャンは、音楽的にも気質的にも炎のように激しいところがあり、リヨンからパリに出て、たちどころに大成功を収めた。気難しく、性格的に当てにならないところがあったが、それでも多くの人々に「偉大なるマルシャン"Marchand le Grand"」として知られていた。 マルシャンの大胆な人となりを暗示する、もっと信頼のおける証拠文書が現存している。それによると、マルシャンは夫人に逃げられた後、フランス国王に俸給の半額を夫人に渡すように命ぜられた。すると、怒り狂ったマルシャンは、演奏を途中で打ち切り、居並ぶ廷臣たちを前にして、「給料の半分を彼女に渡しますから、演奏の続きは彼女に弾いてもらって下さい」と国王に言い放ったという。 マルシャンは存命中に成功して人気を博したにもかかわらず、若干の歌曲とカンタータのほか、2曲のクラヴサン組曲（1702年）しか出版しなかった。 Louis Marchand (2 février 1669, Lyon - 17 février 1732, Paris) est un musicien français, claveciniste et organiste. De son temps, Louis Marchand est considéré en France comme le seul rival de François Couperin à l'orgue et au clavecin. Louis Marchand est issu d'une famille d'organistes. Très précoce, il est titulaire de l'orgue de la cathédrale de Nevers à 15 ans. Il est aussi très ambitieux et de caractère impossible, ce qui lui vaut de nombreux démêlés avec son épouse (de la famille Denis, célèbres facteurs de clavecins) et ses collègues musiciens (il n'hésite pas à s'attribuer les compositions de ceux-ci, par exemple les Bergeries de Couperin). Bientôt installé à Paris, son talent et ses intrigues lui permettent d'être titulaire de l'orgue de plusieurs églises, notamment Saint Benoit et le couvent des Cordeliers, et de succéder en 1706 à Guillaume-Gabriel Nivers dans l'une des charges d'organiste de la Chapelle Royale. Son mauvais caractère lui vaut sans doute de devoir quitter cette fonction en 1713. Selon la rumeur, en fait, il se serait tellement senti accaparé par son ex-femme qui lui réclamait en permanence la moitié de ses gains qu'un jour de 1713, devant honorer la messe à la Chapelle Royale de Versailles, il aurait quitté la tribune (en présence du Roy) en plein milieu de l'office, prétextant que si on ne l'acquittait plus que de la moitié de son salaire, il ne se voyait guère obligé de s'acquitter de plus de la moitié de l'office. Incident suite auquel on lui aurait gentiment conseillé de s'exiler, afin d'éviter des peines plus sévères (étant donné que Louis XIV, ce nonobstant, lui avait toujours conservé une grande affection). Il entreprend alors - contraint et forcé - un voyage en Europe notamment en Allemagne où sa virtuosité lui vaut un succès considérable auprès des grands et la jalousie de ses confrères musiciens qui n'apprécient pas son caractère. C'est à Dresde en 1717 qu'il se serait [1] dérobé à une joute musicale prévue avec Johann Sebastian Bach, en quittant la ville de bon matin. Cet épisode est rapporté avec imprécision et selon différentes versions dont deux sont tardives (CPE Bach et Marpurg n'étaient pas nés en 1717 et aucun contemporain ne relate cette rencontre hypothétique) . Il semble bien, d'après la légende, toutefois, que Marchand ait voulu éviter la confrontation avec Bach, qu'il ne connaissait pas auparavant et dont il aurait reconnu les dons impressionnants de virtuose et d'improvisateur. Il revient ensuite en France pour y terminer une carrière plus discrète et rangée d'organiste et de professeur (parmi ses élèves attestés ou supposés figurent Pierre Du Mage, Jean-Adam Guilain et Louis-Claude Daquin). Les quelques oeuvres de Marchand qui sont passées à la postérité suffisent à confirmer son talent, la hauteur de son inspiration et le raffinement de son harmonie : quelques dizaines de pièces d'orgue, rassemblées de façon disparate - quelques-unes de ses compositions sont des hauts chefs d'oeuvre et notamment, le Grand Dialogue du 5e ton et un Fond d'orgue (mi mineur) à l'harmonie dissonante et mystérieuse ; deux recueils contenant chacun une suite pour clavecin, Livre Premier paru en 1699 et Livre Second en 1702, chez Ballard à Paris. un troisième livre de pièces pour le clavecin (12 pièces en ut mineur / 2 en ut majeur), composées vers 1715, a été découvert en 2003 (manuscrit de la fin du XVIIIe siècle). ATTENTION HOMONYME
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Louis Marchand (2 février 1669, Lyon - 17 février 1732, Paris) est un musicien français, claveciniste et organiste. De son temps, Louis Marchand est considéré en France comme le seul rival de François Couperin à l'orgue et au clavecin. Louis Marchand est issu d'une famille d'organistes. Très précoce, il est titulaire de l'orgue de la cathédrale de Nevers à 15 ans. Il est aussi très ambitieux et de caractère impossible, ce qui lui vaut de nombreux démêlés avec son épouse (de la famille Denis, célèbres facteurs de clavecins) et ses collègues musiciens (il n'hésite pas à s'attribuer les compositions de ceux-ci, par exemple les Bergeries de Couperin). Bientôt installé à Paris, son talent et ses intrigues lui permettent d'être titulaire de l'orgue de plusieurs églises, notamment Saint Benoit et le couvent des Cordeliers, et de succéder en 1706 à Guillaume-Gabriel Nivers dans l'une des charges d'organiste de la Chapelle Royale. Son mauvais caractère lui vaut sans doute de devoir quitter cette fonction en 1713. Selon la rumeur, en fait, il se serait tellement senti accaparé par son ex-femme qui lui réclamait en permanence la moitié de ses gains qu'un jour de 1713, devant honorer la messe à la Chapelle Royale de Versailles, il aurait quitté la tribune (en présence du Roy) en plein milieu de l'office, prétextant que si on ne l'acquittait plus que de la moitié de son salaire, il ne se voyait guère obligé de s'acquitter de plus de la moitié de l'office. Incident suite auquel on lui aurait gentiment conseillé de s'exiler, afin d'éviter des peines plus sévères (étant donné que Louis XIV, ce nonobstant, lui avait toujours conservé une grande affection). Il entreprend alors - contraint et forcé - un voyage en Europe notamment en Allemagne où sa virtuosité lui vaut un succès considérable auprès des grands et la jalousie de ses confrères musiciens qui n'apprécient pas son caractère. C'est à Dresde en 1717 qu'il se serait [1] dérobé à une joute musicale prévue avec Johann Sebastian Bach, en quittant la ville de bon matin. Cet épisode est rapporté avec imprécision et selon différentes versions dont deux sont tardives (CPE Bach et Marpurg n'étaient pas nés en 1717 et aucun contemporain ne relate cette rencontre hypothétique) . Il semble bien, d'après la légende, toutefois, que Marchand ait voulu éviter la confrontation avec Bach, qu'il ne connaissait pas auparavant et dont il aurait reconnu les dons impressionnants de virtuose et d'improvisateur. Il revient ensuite en France pour y terminer une carrière plus discrète et rangée d'organiste et de professeur (parmi ses élèves attestés ou supposés figurent Pierre Du Mage, Jean-Adam Guilain et Louis-Claude Daquin). Les quelques oeuvres de Marchand qui sont passées à la postérité suffisent à confirmer son talent, la hauteur de son inspiration et le raffinement de son harmonie : quelques dizaines de pièces d'orgue, rassemblées de façon disparate - quelques-unes de ses compositions sont des hauts chefs d'oeuvre et notamment, le Grand Dialogue du 5e ton et un Fond d'orgue (mi mineur) à l'harmonie dissonante et mystérieuse ; deux recueils contenant chacun une suite pour clavecin, Livre Premier paru en 1699 et Livre Second en 1702, chez Ballard à Paris. un troisième livre de pièces pour le clavecin (12 pièces en ut mineur / 2 en ut majeur), composées vers 1715, a été découvert en 2003 (manuscrit de la fin du XVIIIe siècle). ATTENTION HOMONYME
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