This HTML5 document contains 18 embedded RDF statements represented using HTML+Microdata notation.

The embedded RDF content will be recognized by any processor of HTML5 Microdata.

Namespace Prefixes

PrefixIRI
n14http://data.doremus.org/source/philharmonie/
n4http://data.doremus.org/performance/
n2http://data.doremus.org/expression/
dchttp://purl.org/dc/elements/1.1/
rdfshttp://www.w3.org/2000/01/rdf-schema#
n11http://data.doremus.org/organization/
ecrmhttp://erlangen-crm.org/current/
rdfhttp://www.w3.org/1999/02/22-rdf-syntax-ns#
owlhttp://www.w3.org/2002/07/owl#
efrbroohttp://erlangen-crm.org/efrbroo/
mushttp://data.doremus.org/ontology#
n15http://data.doremus.org/expression/74deacc9-0ccb-30e5-8046-cb6ec2e60bd5/casting/
provhttp://www.w3.org/ns/prov#
xsdhhttp://www.w3.org/2001/XMLSchema#
n13http://digital.philharmoniedeparis.fr/doc/CIMU/
n6http://data.doremus.org/activity/

Statements

Subject Item
n2:74deacc9-0ccb-30e5-8046-cb6ec2e60bd5
rdf:type
efrbroo:F22_Self-Contained_Expression prov:Entity
rdfs:label
Tetras
rdfs:comment
créée le 8 juin 1983 à Lisbonne par le Quatuor Arditti. Commande de la Fondation Calouste Gulbenkian pour le quatuor Arditti. "Tetras" signifie "quatre" en grec. Extrait du commentaire de Max Noubel : "La forme de cette pièce, comme souvent chez Xenakis, se caractérise par un enchaînement de parties clairement perceptibles dès la première écoute. Elle peut se diviser en neuf sections distinctes mais "contaminées" par des éléments récurrents issus d'autres parties. La première section est principalement constituée à partir de glissandi, le glissando étant un geste musical, une "signature" qui, dans bien des oeuvres de Xenakis, constitue l'élément de base de la musique. Cette section débute par une ondulation sonore du premier violon, sorte de bourdonnement nerveux relayé par l'alto en doubles cordes. La seconde section est envahie par des bruits (différents pizzicati, effets de percussions ou grincements de l'archet sur le chevalet) tandis que l'arrière-plan est constitué de notes tenues suraiguës jouées en harmoniques. La troisième section ramène les glissandi devenus des sirènes aiguës puis, lorsque la texture se densifie, un foisonnement sonore ressemblant à des cris d'oiseaux. A la quatrième section essentiellement pointilliste succède une section homorythmique au cours de laquelle les instruments enchaînent obstinément des "gammes" montantes et descendantes que l'on peut entendre comme des glissandi passés au travers d'un crible. La sixième section fait entendre à nouveau des glissandi mais joués sur le chevalet. La septième section laisse place à un duo entre le premier violon et l'alto, auquel viendra se joindre par la suite le violoncelle. La huitième section entraîne les quatre instruments dans un déchaînement de forces conjuguées fondées sur des polyrythmes complexes. La dernière section est une coda où des trémolos serrés électrisent la matière sonore avant de laisser l'oeuvre se terminer dans un climat de douceur et de calme inattendu."
owl:sameAs
n13:0770128
prov:wasDerivedFrom
n14:0770128 n14:0770104
mus:U13_has_casting
n15:1
mus:U71_has_uniform_title
Tetras
prov:wasAttributedTo
n11:DOREMUS
prov:wasGeneratedBy
n6:c2879129-4025-3146-97a1-e08f63a1523e n6:77840304-cf6c-3a09-ba04-a936b9fd2067
mus:U5_had_premiere
n4:be623a95-6615-3c67-82b3-b2b97deb1e5d
ecrm:P102_has_title
Tetras
dc:identifier
0770128
ecrm:P3_has_note
Commande de la Fondation Calouste Gulbenkian pour le quatuor Arditti. "Tetras" signifie "quatre" en grec. Extrait du commentaire de Max Noubel : "La forme de cette pièce, comme souvent chez Xenakis, se caractérise par un enchaînement de parties clairement perceptibles dès la première écoute. Elle peut se diviser en neuf sections distinctes mais "contaminées" par des éléments récurrents issus d'autres parties. La première section est principalement constituée à partir de glissandi, le glissando étant un geste musical, une "signature" qui, dans bien des oeuvres de Xenakis, constitue l'élément de base de la musique. Cette section débute par une ondulation sonore du premier violon, sorte de bourdonnement nerveux relayé par l'alto en doubles cordes. La seconde section est envahie par des bruits (différents pizzicati, effets de percussions ou grincements de l'archet sur le chevalet) tandis que l'arrière-plan est constitué de notes tenues suraiguës jouées en harmoniques. La troisième section ramène les glissandi devenus des sirènes aiguës puis, lorsque la texture se densifie, un foisonnement sonore ressemblant à des cris d'oiseaux. A la quatrième section essentiellement pointilliste succède une section homorythmique au cours de laquelle les instruments enchaînent obstinément des "gammes" montantes et descendantes que l'on peut entendre comme des glissandi passés au travers d'un crible. La sixième section fait entendre à nouveau des glissandi mais joués sur le chevalet. La septième section laisse place à un duo entre le premier violon et l'alto, auquel viendra se joindre par la suite le violoncelle. La huitième section entraîne les quatre instruments dans un déchaînement de forces conjuguées fondées sur des polyrythmes complexes. La dernière section est une coda où des trémolos serrés électrisent la matière sonore avant de laisser l'oeuvre se terminer dans un climat de douceur et de calme inattendu." créée le 8 juin 1983 à Lisbonne par le Quatuor Arditti.