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Festival de Jérusalem
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On trouve bien des mélodies d’allure populaire dans les lieder ou la musique de chambre de Schubert. C’est aussi le cas du Quatrième trio avec piano de Beethoven, dont le surnom n’est pas dû au compositeur lui-même : Gassenhauer désigne en allemand un refrain à succès – en l’occurrence un air emprunté à l’opéra de Joseph Weigl, Le Corsaire par amour, qui avait joui d’une grande popularité à Vienne en 1797 et qui sert de thème aux variations du dernier mouvement de l’op. 11. Si Beethoven revisite ainsi ce qu’on pourrait appeler un tube de son temps, Bartók, avec ses Contrastes de 1938, répondait quant à lui à une commande du clarinettiste Benny Goodman : celui-ci souhaitait pouvoir jouer, avec le violoniste Joseph Szigeti, une oeuvre courte dont l’inspiration soit proche des Rhapsodies de 1928, avec leur alternance contrastée de mouvements lents et rapides (lassú et friss), typique des danses de style verbunkos.
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L'Europe centrale
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On trouve bien des mélodies d’allure populaire dans les lieder ou la musique de chambre de Schubert. C’est aussi le cas du Quatrième trio avec piano de Beethoven, dont le surnom n’est pas dû au compositeur lui-même : Gassenhauer désigne en allemand un refrain à succès – en l’occurrence un air emprunté à l’opéra de Joseph Weigl, Le Corsaire par amour, qui avait joui d’une grande popularité à Vienne en 1797 et qui sert de thème aux variations du dernier mouvement de l’op. 11. Si Beethoven revisite ainsi ce qu’on pourrait appeler un tube de son temps, Bartók, avec ses Contrastes de 1938, répondait quant à lui à une commande du clarinettiste Benny Goodman : celui-ci souhaitait pouvoir jouer, avec le violoniste Joseph Szigeti, une oeuvre courte dont l’inspiration soit proche des Rhapsodies de 1928, avec leur alternance contrastée de mouvements lents et rapides (lassú et friss), typique des danses de style verbunkos.
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