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London Symphony Orchestra - Valery Gergiev - Anne-Sophie Mutter
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Les concerts parisiens du LSO sont toujours des événements très attendus. Surtout sous la direction de Valery Gergiev. Après un détour par Mahler la saison passée, ils reviennent cette année à un répertoire que Gergiev maîtrise parfaitement : la musique symphonique russe. Les lectures âpres et puissantes que l’ardent chef moscovite nous en livre sont animées d’un souffle dévastateur en même temps que confondantes de couleurs et de dynamiques. Il y a deux ans, le cycle Prokofiev qu’ils avaient proposé ici-même à Pleyel avait été chaleureusement accueilli, tant par le public que par la critique. Cette année, c’est au tour de l’autre grand compositeur de l’ère soviétique : Dmitri Chostakovitch. Prenant le contrepied de la monumentale Symphonie n°5, de deux ans son aîné, la Symphonie n°6 est d’une verdeur bouillonnante, couronnée par le galop, exhilarant mais non dénué d’humour noir, de son Presto final. Écrite au lendemain de la mort de Staline, la Symphonie n°10 est au contraire déchirante et pathétique, et figure une forme de libération personnelle, comme en témoigne l’utilisation de la fameuse formule D-S-C-H (ré-mi-do-si). Certains voient dans l’acide second mouvement un portrait musical du « petit père des peuples ». Ou plutôt une caricature. Inspiré d’un conte russe, Le lac enchanté d’Anatole Liadov permettra au LSO et Valery Gergiev de remettre ces deux pages de Chostakovitch, que tout semble opposer, dans le contexte de l’histoire symphonique russe. Idem pour le Concerto pour violon de Tchaïkovski, majestueusement servie par la grande violoniste Anne-Sophie Muter. Cette dernière nous présentera également Lichtes Spiel, partition concertante dont elle a elle-même passé commande au compositeur Wolfgang Rihm et dont elle a assuré la création en 2009. Valery Gergiev et le LSO seront décidément en excellente compagnie, puisqu’Hélène Grimaud interprètera avec eux le Concerto pour piano de Schumann.
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Les concerts parisiens du LSO sont toujours des événements très attendus. Surtout sous la direction de Valery Gergiev. Après un détour par Mahler la saison passée, ils reviennent cette année à un répertoire que Gergiev maîtrise parfaitement : la musique symphonique russe. Les lectures âpres et puissantes que l’ardent chef moscovite nous en livre sont animées d’un souffle dévastateur en même temps que confondantes de couleurs et de dynamiques. Il y a deux ans, le cycle Prokofiev qu’ils avaient proposé ici-même à Pleyel avait été chaleureusement accueilli, tant par le public que par la critique. Cette année, c’est au tour de l’autre grand compositeur de l’ère soviétique : Dmitri Chostakovitch. Prenant le contrepied de la monumentale Symphonie n°5, de deux ans son aîné, la Symphonie n°6 est d’une verdeur bouillonnante, couronnée par le galop, exhilarant mais non dénué d’humour noir, de son Presto final. Écrite au lendemain de la mort de Staline, la Symphonie n°10 est au contraire déchirante et pathétique, et figure une forme de libération personnelle, comme en témoigne l’utilisation de la fameuse formule D-S-C-H (ré-mi-do-si). Certains voient dans l’acide second mouvement un portrait musical du « petit père des peuples ». Ou plutôt une caricature. Inspiré d’un conte russe, Le lac enchanté d’Anatole Liadov permettra au LSO et Valery Gergiev de remettre ces deux pages de Chostakovitch, que tout semble opposer, dans le contexte de l’histoire symphonique russe. Idem pour le Concerto pour violon de Tchaïkovski, majestueusement servie par la grande violoniste Anne-Sophie Muter. Cette dernière nous présentera également Lichtes Spiel, partition concertante dont elle a elle-même passé commande au compositeur Wolfgang Rihm et dont elle a assuré la création en 2009. Valery Gergiev et le LSO seront décidément en excellente compagnie, puisqu’Hélène Grimaud interprètera avec eux le Concerto pour piano de Schumann.
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