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The Docks of New York
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Après The Kid de Charles Chaplin en 2010, le guitariste Marc Ribot accompagne le film muet de Josef von Sternberg, The Docks of New York, qui narre la passion amoureuse d’un soutier et d’une prostituée. Marc Ribot a bien plus que six cordes à sa guitare. Derrière des soulmen comme Wilson Pickett et Solomon Burke, au sein des très cultes Lounge Lizards dans le New York post-punk des années 80, porte-flingue pour Tom Waits ou Alain Bashung, déstabilisateur de sons cubains avec ses Cubanos Postizos, tabassant le jazz et le rock avec les Rootless Cosmopolitans et faisant même sienne la musique classique haïtienne lors d’hommage au compositeur Frantz Casseus, le New-Yorkais s’est promené sur tous les sons et dans toutes les contrées possibles et imaginables. Le plus punk des guitaristes de jazz n’a même pas pu éviter de croiser la route du septième art. Après The Kid de Chaplin, en 2010, Marc Ribot accompagne cette fois les images du film de Josef von Sternberg, The Docks of New York (Les Damnés de l’océan). Dans ce ciné-concert, sa guitare offre une vaste palette d’émotions pour illustrer ce grand mélodrame muet de 1928 qui narre la passion amoureuse d’un soutier et d’une prostituée.
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Après The Kid de Charles Chaplin en 2010, le guitariste Marc Ribot accompagne le film muet de Josef von Sternberg, The Docks of New York, qui narre la passion amoureuse d’un soutier et d’une prostituée. Marc Ribot a bien plus que six cordes à sa guitare. Derrière des soulmen comme Wilson Pickett et Solomon Burke, au sein des très cultes Lounge Lizards dans le New York post-punk des années 80, porte-flingue pour Tom Waits ou Alain Bashung, déstabilisateur de sons cubains avec ses Cubanos Postizos, tabassant le jazz et le rock avec les Rootless Cosmopolitans et faisant même sienne la musique classique haïtienne lors d’hommage au compositeur Frantz Casseus, le New-Yorkais s’est promené sur tous les sons et dans toutes les contrées possibles et imaginables. Le plus punk des guitaristes de jazz n’a même pas pu éviter de croiser la route du septième art. Après The Kid de Chaplin, en 2010, Marc Ribot accompagne cette fois les images du film de Josef von Sternberg, The Docks of New York (Les Damnés de l’océan). Dans ce ciné-concert, sa guitare offre une vaste palette d’émotions pour illustrer ce grand mélodrame muet de 1928 qui narre la passion amoureuse d’un soutier et d’une prostituée.
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