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Namespace Prefixes

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Statements

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Rover
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De Bowie à Dylan, des Beatles à Radiohead en passant par la musique électronique, le répertoire de Rover est chargé de diverses infl uences. Après le succès de son album Let it Glow, Rover pose ses valises à la Philharmonie pour une série de concerts intimistes en solo et nous emporte dans les méandres de son univers ténébreux et romantique. Il a beau vivre en 2016, Rover jongle avec de multiples influences des décennies passées. En deux albums (l'éponyme Rover en 2012 et Let It Glow en 2015), Timothée Régnier de son vrai nom a surtout montré l’intelligence avec laquelle il a su digérer la langue des Bowie, Dylan, Beatles, Zombies et autres Beach Boys pour créer sa propre sémantique rock’n’roll, exaltée et ténébreuse. Car Rover est un artiste de son temps, non un taxidermiste qui ne serait qu’obsédé que par l’âge d’or de la pop… Pour cette série de concerts qu’il donnera à la Philharmonie, il avance sans fard, ni enluminure, mais juste armé de ses propres chansons. En solo, Rover offre l’intimité de son rock avant tout adossé contre de solides compositions, marque de fabrique des vrais orfèvres.
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De Bowie à Dylan, des Beatles à Radiohead en passant par la musique électronique, le répertoire de Rover est chargé de diverses infl uences. Après le succès de son album Let it Glow, Rover pose ses valises à la Philharmonie pour une série de concerts intimistes en solo et nous emporte dans les méandres de son univers ténébreux et romantique. Il a beau vivre en 2016, Rover jongle avec de multiples influences des décennies passées. En deux albums (l'éponyme Rover en 2012 et Let It Glow en 2015), Timothée Régnier de son vrai nom a surtout montré l’intelligence avec laquelle il a su digérer la langue des Bowie, Dylan, Beatles, Zombies et autres Beach Boys pour créer sa propre sémantique rock’n’roll, exaltée et ténébreuse. Car Rover est un artiste de son temps, non un taxidermiste qui ne serait qu’obsédé que par l’âge d’or de la pop… Pour cette série de concerts qu’il donnera à la Philharmonie, il avance sans fard, ni enluminure, mais juste armé de ses propres chansons. En solo, Rover offre l’intimité de son rock avant tout adossé contre de solides compositions, marque de fabrique des vrais orfèvres.
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