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London Symphony Orchestra
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John Eliot Gardiner poursuit à la Salle Pleyel son cycle Beethoven avec le London Symphony Orchestra. Une rencontre toujours passionnante, qui mêle le travail historiciste du chef britannique, pionnier du renouveau baroque outre-Manche, à l’esprit de tradition d’une des plus grandes phalanges européennes. Le LSO conserve ses qualités légendaires de cohésion et de dynamisme mais modifie, sous la direction de Gardiner, son rapport au vibrato et son travail d’articulation. Son effectif instrumental est également réduit, afin de retrouver les conditions originales d’exécution. Le programme du premier concert donne à entendre, outre l’Ouverture d’Egmont et la Symphonie n°6 « Pastorale », le Concerto pour piano n°2 de Beethoven. Avec, en soliste, la pianiste portugaise Maria-João Pires, dont le toucher clair et expressif s’allie parfaitement à la direction imaginative mais précise de Gardiner. Le lendemain, l’affiche confronte la première et la dernière symphonie du Maître de Bonn. Une belle occasion de mesurer l’évolution du discours symphonique beethovenien, depuis la Symphonie n°1, composée en 1799, aux influences encore classiques (Beethoven fût l’élève de Haydn), jusqu’à la Symphonie n°9, créée en 1824 et qui, notamment par sa durée et sa forme, ouvre de nouvelles perspectives sthétiques. Dans cette ultime symphonie interviennent quatre solistes vocaux et un choeur, en l’occurrence le Monteverdi Choir, fondé par Gardiner en 1964 et dont l’homogénéité et l’intelligence du texte forcent l’admiration.
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Sir John Eliot Gardiner - The Monteverdi Choir
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John Eliot Gardiner poursuit à la Salle Pleyel son cycle Beethoven avec le London Symphony Orchestra. Une rencontre toujours passionnante, qui mêle le travail historiciste du chef britannique, pionnier du renouveau baroque outre-Manche, à l’esprit de tradition d’une des plus grandes phalanges européennes. Le LSO conserve ses qualités légendaires de cohésion et de dynamisme mais modifie, sous la direction de Gardiner, son rapport au vibrato et son travail d’articulation. Son effectif instrumental est également réduit, afin de retrouver les conditions originales d’exécution. Le programme du premier concert donne à entendre, outre l’Ouverture d’Egmont et la Symphonie n°6 « Pastorale », le Concerto pour piano n°2 de Beethoven. Avec, en soliste, la pianiste portugaise Maria-João Pires, dont le toucher clair et expressif s’allie parfaitement à la direction imaginative mais précise de Gardiner. Le lendemain, l’affiche confronte la première et la dernière symphonie du Maître de Bonn. Une belle occasion de mesurer l’évolution du discours symphonique beethovenien, depuis la Symphonie n°1, composée en 1799, aux influences encore classiques (Beethoven fût l’élève de Haydn), jusqu’à la Symphonie n°9, créée en 1824 et qui, notamment par sa durée et sa forme, ouvre de nouvelles perspectives sthétiques. Dans cette ultime symphonie interviennent quatre solistes vocaux et un choeur, en l’occurrence le Monteverdi Choir, fondé par Gardiner en 1964 et dont l’homogénéité et l’intelligence du texte forcent l’admiration.
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