This HTML5 document contains 18 embedded RDF statements represented using HTML+Microdata notation.

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Lorsque l’on pense à Alain Planès, ce sont des noms comme celui de Debussy qui viennent tout de suite à l’esprit. Pour autant, celui dont la réputation s’est faite sur le piano moderne aime aussi explorer d’autres chemins. « J’ai toujours été intéressé par les instruments anciens. [L’]un de mes élèves […] m’a communiqué la passion du pianoforte. […] Peu de gens savent que je joue parfois sur pianoforte. Tout ce qui touche à ce domaine m’intéresse », confiait Alain Planès dès 1996. Pour son concert à la Philharmonie, dans le prolongement de ses Debussy sur Blüthner de 1902 ou Bechstein de 1897 comme de son passionnant Chopin chez Pleyel, il donne sur un Brodmann construit à Vienne en 1814 trois partitions beethovéniennes à peine antérieures – la Sonate n° 26 « Les Adieux » datant de la toute fin des années 1810.
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Lorsque l’on pense à Alain Planès, ce sont des noms comme celui de Debussy qui viennent tout de suite à l’esprit. Pour autant, celui dont la réputation s’est faite sur le piano moderne aime aussi explorer d’autres chemins. « J’ai toujours été intéressé par les instruments anciens. [L’]un de mes élèves […] m’a communiqué la passion du pianoforte. […] Peu de gens savent que je joue parfois sur pianoforte. Tout ce qui touche à ce domaine m’intéresse », confiait Alain Planès dès 1996. Pour son concert à la Philharmonie, dans le prolongement de ses Debussy sur Blüthner de 1902 ou Bechstein de 1897 comme de son passionnant Chopin chez Pleyel, il donne sur un Brodmann construit à Vienne en 1814 trois partitions beethovéniennes à peine antérieures – la Sonate n° 26 « Les Adieux » datant de la toute fin des années 1810.
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