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Quatuor Béla

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Le Quatuor Béla prolonge l’hommage du Festival d’Aix-en-Provence au compositeur allemand Manfred Trojahn (né en 1949), l’un des pionniers d’une nouvelle simplicité et d’une nouvelle subjectivité en musique, loin des dogmes de l’avant-garde. Comptant parmi les quatuors à cordes les plus stimulants du moment, le Quatuor Béla – qui oscille avec une impeccable élégance entre tradition et modernité – propose un programme à son image : vif, insolite et aventureux. Frédéric Aurier (violon), Julien Dieudegard (violon), Julian Boutin (alto) et Luc Dedreuil (violoncelle) instaurent ici un dialogue fécond entre trois œuvres : le Quatuor à cordes n° 5 de Béla Bartok (figure tutélaire de l’ensemble), une création du jeune compositeur français Jérôme Combier et le Quatuor à cordes n° 3 de Manfred Trojahn, compositeur allemand (né en 1949) qui, à contre-courant de l’avant-garde des années 1960 et 1970, s’est affirmé comme l’un des hérauts du retour à une forme de simplicité et de subjectivité.

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Le Quatuor Béla prolonge l’hommage du Festival d’Aix-en-Provence au compositeur allemand Manfred Trojahn (né en 1949), l’un des pionniers d’une nouvelle simplicité et d’une nouvelle subjectivité en musique, loin des dogmes de l’avant-garde. Comptant parmi les quatuors à cordes les plus stimulants du moment, le Quatuor Béla – qui oscille avec une impeccable élégance entre tradition et modernité – propose un programme à son image : vif, insolite et aventureux. Frédéric Aurier (violon), Julien Dieudegard (violon), Julian Boutin (alto) et Luc Dedreuil (violoncelle) instaurent ici un dialogue fécond entre trois œuvres : le Quatuor à cordes n° 5 de Béla Bartok (figure tutélaire de l’ensemble), une création du jeune compositeur français Jérôme Combier et le Quatuor à cordes n° 3 de Manfred Trojahn, compositeur allemand (né en 1949) qui, à contre-courant de l’avant-garde des années 1960 et 1970, s’est affirmé comme l’un des hérauts du retour à une forme de simplicité et de subjectivité.

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