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Un salon allemand à Paris
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Sur les instruments du Musée, Aurélien Delage rend hommage à l'âge d'or de la facture qui s'est épanouie en France à la fin du XVIIIe siècle. Durant les règnes de Louis XV et Louis XVI, nombre de compositeurs d'origine germanique vinrent à Paris. L'un des premiers fut Telemann qui joua dans la salle du Concert Spirituel en 1737, suivi de jeunes musiciens de l'Ecole de Mannheim, comme le futur directeur du Grand Théâtre de Bordeaux, Franz Beck. Ces derniers, accompagnés de facteurs originaires de Saxe ou d'Alsace, participèrent à la diffusion en France d'un nouvel instrument : le piano forte, parfois organisé. Schobert édita parmi les toutes premières œuvres pour le nouvel instrument à Paris. Chez le prince de Conti, il pouvait jouer un instrument à marteaux de Silbermann que le jeune Mozart toucha peut-être durant son séjour dans la capitale en 1763 et 1764. Les nuances au clavier n'étaient cependant pas réservées au seul piano forte. Les facteurs de clavecin rivalisèrent d'inventivité pour suivre les envies nouvelles d'expressivité du public parisien. Dans les collections du Musée, le clavecin Goujon, ravalé par Swanen en 1784, avec ses genouillères et certains becs en peau de buffle, en est un bel exemple.
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Aurélien Delage - Telemann, Haendel, Beck, Schobert, Mozart…
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Sur les instruments du Musée, Aurélien Delage rend hommage à l'âge d'or de la facture qui s'est épanouie en France à la fin du XVIIIe siècle. Durant les règnes de Louis XV et Louis XVI, nombre de compositeurs d'origine germanique vinrent à Paris. L'un des premiers fut Telemann qui joua dans la salle du Concert Spirituel en 1737, suivi de jeunes musiciens de l'Ecole de Mannheim, comme le futur directeur du Grand Théâtre de Bordeaux, Franz Beck. Ces derniers, accompagnés de facteurs originaires de Saxe ou d'Alsace, participèrent à la diffusion en France d'un nouvel instrument : le piano forte, parfois organisé. Schobert édita parmi les toutes premières œuvres pour le nouvel instrument à Paris. Chez le prince de Conti, il pouvait jouer un instrument à marteaux de Silbermann que le jeune Mozart toucha peut-être durant son séjour dans la capitale en 1763 et 1764. Les nuances au clavier n'étaient cependant pas réservées au seul piano forte. Les facteurs de clavecin rivalisèrent d'inventivité pour suivre les envies nouvelles d'expressivité du public parisien. Dans les collections du Musée, le clavecin Goujon, ravalé par Swanen en 1784, avec ses genouillères et certains becs en peau de buffle, en est un bel exemple.
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