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Namespace Prefixes

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Michel Beroff / Hélène Couvert / Juliette Hurel / Marie Josephe Jude
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Stravinski a raconté, dans ses Chroniques de ma vie, comment il avait imaginé un rite païen, avec de vieux sages observant la danse de la victime d’un sacrifice propitiatoire. Tel est l’argument qui sous-tend la sauvagerie raffinée du Sacre du printemps, créé dans sa version orchestrale le 29 mai 1913, au Théâtre des Champs-Elysées. La version pour deux pianos (de Stravinski lui-même, qui la joua avec Debussy en juin 1912) fait ressortir le primitivisme de cette page célèbre entre toutes. La rythmique obstinée du Sacre était déjà présente dans l’Allegro barbaro de Bartok en 1911, tandis que les Cinq incantations de Jolivet, en 1936, font écho aux invocations répétitives de Stravinski. Quant à Mana, chacun des mouvements de cette oeuvre de 1935 est dédié à un "objet-fétiche" : une poupée, un oiseau magique, la statue d’une princesse balinaise et des animaux sculptés par Calder.
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Stravinski a raconté, dans ses Chroniques de ma vie, comment il avait imaginé un rite païen, avec de vieux sages observant la danse de la victime d’un sacrifice propitiatoire. Tel est l’argument qui sous-tend la sauvagerie raffinée du Sacre du printemps, créé dans sa version orchestrale le 29 mai 1913, au Théâtre des Champs-Elysées. La version pour deux pianos (de Stravinski lui-même, qui la joua avec Debussy en juin 1912) fait ressortir le primitivisme de cette page célèbre entre toutes. La rythmique obstinée du Sacre était déjà présente dans l’Allegro barbaro de Bartok en 1911, tandis que les Cinq incantations de Jolivet, en 1936, font écho aux invocations répétitives de Stravinski. Quant à Mana, chacun des mouvements de cette oeuvre de 1935 est dédié à un "objet-fétiche" : une poupée, un oiseau magique, la statue d’une princesse balinaise et des animaux sculptés par Calder.
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