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Debussy et les maîtres français
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À la suite de son récital la saison dernière, qui mêlait plusieurs sonates de Beethoven jouées sur instruments d’époque, Alain Planès, musicien complet au riche parcours, renoue avec l’expérience, cette fois-ci dans un programme entièrement consacré à la musique française. « Debussy a dévié, parce que de l’embûche allemande, il est tombé dans le piège russe », écrivait Jean Cocteau dans Le Coq et l’Arlequin en 1918. Il ajoutait : « Debussy transpose Claude Monet à la russe. » Ce que Cocteau, dans sa quête d’un nationalisme musical français, regrettait et critiquait, nous l’entendons aujourd’hui comme l’un des attraits majeurs de l’œuvre de Debussy. Les doigts d'Alain Planès tendent un fil à travers les siècles, perpétuent la tradition d’un art typiquement hexagonal, fait de clarté, d’élégance mais aussi d’invention, d’imagination, de couleurs. Debussy a parfaitement reconnu sa dette envers les grands anciens en écrivant un vibrant Hommage à Rameau, d’une grandeur émue. Pour ce récital, Alain Planès joue non seulement un Érard de 1891 mais aussi un clavecin de l’autre marque prestigieuse française, Pleyel.
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À la suite de son récital la saison dernière, qui mêlait plusieurs sonates de Beethoven jouées sur instruments d’époque, Alain Planès, musicien complet au riche parcours, renoue avec l’expérience, cette fois-ci dans un programme entièrement consacré à la musique française. « Debussy a dévié, parce que de l’embûche allemande, il est tombé dans le piège russe », écrivait Jean Cocteau dans Le Coq et l’Arlequin en 1918. Il ajoutait : « Debussy transpose Claude Monet à la russe. » Ce que Cocteau, dans sa quête d’un nationalisme musical français, regrettait et critiquait, nous l’entendons aujourd’hui comme l’un des attraits majeurs de l’œuvre de Debussy. Les doigts d'Alain Planès tendent un fil à travers les siècles, perpétuent la tradition d’un art typiquement hexagonal, fait de clarté, d’élégance mais aussi d’invention, d’imagination, de couleurs. Debussy a parfaitement reconnu sa dette envers les grands anciens en écrivant un vibrant Hommage à Rameau, d’une grandeur émue. Pour ce récital, Alain Planès joue non seulement un Érard de 1891 mais aussi un clavecin de l’autre marque prestigieuse française, Pleyel.
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