"Henri Duparc, de son vrai nom Eug\u00E8ne Marie Henri Fouques Duparc, n\u00E9 \u00E0 Paris le 21 janvier 1848 et mort \u00E0 Mont-de-Marsan (Landes) le 12 f\u00E9vrier 1933, est un compositeur fran\u00E7ais\r\nDuparc fait ses \u00E9tudes secondaires au coll\u00E8ge j\u00E9suite de Vaugirard. Son professeur de piano n'est autre que le grand C\u00E9sar Franck. Ce dernier lui fait comprendre qu'il ne pourra jamais \u00EAtre un pianiste virtuose, mais qu'il y a, en lui, l'\u00E9toffe d'un compositeur. \u00C0 l'image des musiciens qui lui sont contemporains, Henri Duparc r\u00E9pond \u00E0 l'appel du temps : r\u00E9concilier, rapprocher, faire se rejoindre m\u00E9lodie et parole afin que cesse l'antique diff\u00E9rend entre le discours libre de la musique et celui, imp\u00E9rieusement syntaxique et sens\u00E9, du langage verbal. Voir \u00E0 ce sujet l'article d'\u00C9velyne Andr\u00E9ani \u00AB Les rapports texte-musique ou les aventures du sens \u00BB, in Analyse musicale n\u00B0 9, Paris, octobre 1987. Il y a urgence. L'Europe gronde et se d\u00E9chire.\r\nQuel est le contexte ? Concr\u00E8tement, la guerre de 1870 blesse gravement les relations entre Fran\u00E7ais et Allemands. Dans les deux pays, la musique est prise en otage. Les inconditionnels de Wagner existent de part et d'autre du Rhin, ainsi que leurs pugnaces rivaux. D\u00E9j\u00E0 l'amiti\u00E9, l'\u00E9mulation entre un Berlioz et un Wagner ne sont plus possibles. Les artistes se divisent, les sensibilit\u00E9s s'opposent.\r\nC'est une faille, \u00AB une f\u00EAlure \u00BB comme dirait Zola qui soudain passe au travers de tout le continent europ\u00E9en, de ses peuples et de leurs repr\u00E9sentants. Pourtant un grand essor, philosophique, romanesque et musical s'annon\u00E7ait, \u00E9tait en promesse. Large et puissante, l'expression de l'esprit dans toutes les disciplines, s'appr\u00EAtait \u00E0 se hisser au niveau des abondantes d\u00E9couvertes scientifiques et technologiques, qui semblaient modifier chaque jour le destin de l'humanit\u00E9. Nombreux sont les exemples. Ainsi, la qu\u00EAte quasi obsessionnelle d'un Flaubert \u00E0 la recherche de la phrase juste, se poursuit dans les formes br\u00E8ves de son disciple Maupassant. Mais la b\u00E9ance est l\u00E0, le nouvelliste et romancier est d\u00E9chir\u00E9 lui aussi. Le corps et la t\u00EAte semblent ne plus marcher de concert. Comme si la chair assassinait les mots. Des po\u00E8tes, tel Baudelaire, Verlaine, Rimbaud, un peu plus tard Artaud, ont exprim\u00E9 fort justement, l'extr\u00EAme tension de l'\u00E9poque.\r\nHenri Duparc, plus qu'un autre, ressent physiquement l'\u00E9cart\u00E8lement, l'ab\u00EEme grandissant, qui s'ouvre au coeur m\u00EAme de sa g\u00E9n\u00E9ration. Qu'est-ce que cette maladie nerveuse si \u00E9trange, si impr\u00E9cis\u00E9ment diagnostiqu\u00E9e par les m\u00E9decins qui s'abat implacablement sur lui, entrave sa force cr\u00E9atrice, sinon la tragique manifestation dans la personne de ce grand compositeur, de l'effondrement g\u00E9n\u00E9ral du corps nerveux de l'Occident ? O\u00F9 pour le dire avec les mots qu'il affectionne : \u00AB Pourquoi n'as-tu pas dit, \u00F4 r\u00EAve, o\u00F9 Dieu nous m\u00E8ne. Pourquoi n'as-tu pas dit s'ils ne finiraient pas, l'inutile travail et l'\u00E9ternel fracas dont est faite la vie, h\u00E9las la vie humaine ? \u00BB (extrait de La Vague et la Cloche, m\u00E9lodie d'Henri Duparc sur une po\u00E9sie de Fran\u00E7ois Copp\u00E9e).\r\n\u00AB Union parfaite de la m\u00E9lodie et des paroles \u00BB, \u00E9crit Lucien Rebatet \u00E0 propos des chansons d'Henri Duparc. N'est-ce pas ce que Nietzsche attendait de la musique ?\r\nCompos\u00E9es au prix d'un effort surhumain, les dix-sept m\u00E9lodies d'Henri Duparc sont d'une gr\u00E2ce inou\u00EFe. V\u00E9ritable \u00E9quilibre apollonien, d'une lumineuse clart\u00E9, le mot r\u00E9pond \u00E0 la note, l'accord se pose avec d\u00E9licatesse sur la rime. Le cycle de ses chants s'ach\u00E8ve en 1885. Le dernier, La Vie ant\u00E9rieure, aura occup\u00E9 l'esprit du compositeur pendant dix ans (1874-1884). Cette c\u00E9l\u00E8bre po\u00E9sie de Baudelaire trouve son accomplissement dans la sublime m\u00E9lodie que lui accorde Duparc. En d\u00E9pit de sa bri\u00E8vet\u00E9, la dur\u00E9e de son interpr\u00E9tation n'exc\u00E8de gu\u00E8re quatre minutes, cette \u009Cuvre a les proportions d'un vaste \u00E9difice gothique. La richesse de l'expression harmonique, le lyrisme des moindres inflexions sont extraordinaires.\r\nHenri Duparc a trente-huit ans (en 1885)"@fr . "\u6B27\u4EC1\u00B7\u739B\u4E3D\u00B7\u4EA8\u5229\u00B7\u5BCC\u51EF\u00B7\u8FEA\u5E15\u514B\uFF08\u6CD5\u8BED\uFF1AEug\u00E8ne Marie Henri Fouques Duparc\uFF0C1848\u5E741\u670821\u65E5\uFF0D1933\u5E742\u670812\u65E5\uFF09\uFF0C\u6CD5\u56FD\u4F5C\u66F2\u5BB6\u3002\u4ED6\u662F\u5F17\u5170\u514B\u7684\u6700\u521D\u4E00\u4E9B\u5B66\u751F\u4E4B\u4E00\uFF0C1871\u5E74\uFF0C\u4E0E\u5723\u6851\u7B49\u4EBA\u4E00\u8D77\u6210\u7ACB\u4E86\u6C11\u65CF\u73B0\u4EE3\u97F3\u4E50\u534F\u4F1A\u5E76\u4EFB\u4E66\u8BB0\uFF0C\u4F46\u662F\u57281885\u5E74\uFF0C\u4ED6\u7531\u4E8E\u957F\u671F\u53D7\u795E\u7ECF\u8870\u5F31\u56F0\u6270\u8F9E\u53BB\u804C\u52A1\uFF0C\u5E76\u5F00\u59CB\u9690\u5C45\uFF0C\u540E\u6765\u4E0E\u514B\u54C8\u65AF\u6210\u4E3A\u597D\u53CB\u3002\u4ED6\u665A\u5E74\u6BC1\u6389\u4E86\u81EA\u5DF1\u7684\u8BB8\u591A\u4F5C\u54C1\uFF0C\u5728\u4ED6\u7559\u4E0B\u6765\u7684\u5C11\u6570\u4F5C\u54C1\u4E2D\uFF0C\u6700\u91CD\u8981\u7684\u662F\u5341\u4F59\u9996\u827A\u672F\u6B4C\u66F2\u3002\u8FD9\u4E9B\u6B4C\u66F2\u5177\u6709\u5F3A\u70C8\u7684\u620F\u5267\u6027\u548C\u8BD7\u610F\uFF0C\u6B4C\u8BCD\u4E0E\u97F3\u4E50\u5BC6\u4E0D\u53EF\u5206\uFF0C\u662F\u6CD5\u8BED\u827A\u672F\u6B4C\u66F2\u4E2D\u4E0D\u53EF\u591A\u5F97\u7684\u6770\u4F5C\uFF0C\u5BF9\u540E\u4EE3\u5F71\u54CD\u5F88\u5927\u3002"@zh . . . "\u30A2\u30F3\u30EA\u30FB\u30C7\u30E5\u30D1\u30EB\u30AF\uFF08\u30A6\u30B8\u30A7\u30FC\u30CC\u30FB\u30DE\u30EA\u30FC\u30FB\u30A2\u30F3\u30EA\u30FB\u30D5\u30FC\u30B1\u30FB\u30C7\u30E5\u30D1\u30EB\u30AF\u3001Eug\u00E8ne Marie Henri Fouques Duparc\u30011848\u5E741\u670821\u65E5\u30D1\u30EA \u2013 1933\u5E742\u670812\u65E5\u30E2\u30F3\uFF1D\u30C9\uFF1D\u30DE\u30EB\u30B5\u30F3\uFF09\u306F\u3001\u30D5\u30E9\u30F3\u30B9\u5F8C\u671F\u30ED\u30DE\u30F3\u6D3E\u306E\u4F5C\u66F2\u5BB6\u3002\u5927\u90E8\u5206\u306E\u4F5C\u54C1\u3092\u81EA\u3089\u7834\u68C4\u3057\u305F\u305F\u3081\u3001\u6B4C\u66F2\u3092\u4E2D\u5FC3\u306B\u3054\u304F\u5C11\u6570\u306E\u4F5C\u54C1\u3057\u304B\u6B8B\u3055\u308C\u3066\u3044\u306A\u3044\u304C\u3001\u300C\u65C5\u3078\u306E\u3044\u3056\u306A\u3044\u300D\u306A\u3069\u306E\u6B8B\u3055\u308C\u305F\u4F5C\u54C1\u306E\u3044\u304F\u3064\u304B\u306F\u30D5\u30E9\u30F3\u30B9\u6B4C\u66F2\u3092\u4EE3\u8868\u3059\u308B\u6B4C\u66F2\u3068\u307F\u306A\u3055\u308C\u3066\u3044\u308B\u3002"@ja . . "Eug\u00E8ne Marie Henri Fouques Duparc (21 January 1848 \u2013 12 February 1933) was a French composer of the late Romantic period."@en . "13893514" . "Henri" . . "20159078" . "male"@en . "1933-02-12"^^ . "Eug\u00E8ne Marie Henri Fouques Duparc (ur. 21 stycznia 1848 w Pary\u017Cu, zm. 12 lutego 1933 w Mont-de-Marsan) \u2013 francuski kompozytor. Edukacj\u0119 rozpocz\u0105\u0142 u jezuit\u00F3w, w paryskim Coll\u00E8ge de Vaugirard, gdzie nauczycielem gry na fortepianie by\u0142 C\u00E9sar Franck, jego ulubiony i jedyny wyk\u0142adowca. Tworzy\u0142 rzadko i niewiele prze\u015Bladowany przez chorob\u0119 nerwow\u0105, stany depresyjne i post\u0119puj\u0105c\u0105 \u015Blepot\u0119. Zas\u0142yn\u0105\u0142 g\u0142\u00F3wnie jako kompozytor pie\u015Bni zaliczanych do najwybitniejszych osi\u0105gni\u0119\u0107 francuskiej liryki wokalnej."@pl . "1848-01-21"^^ . . "Henri Duparc, de son vrai nom Eug\u00E8ne Marie Henri Fouques Duparc, n\u00E9 \u00E0 Paris le 21 janvier 1848 et mort \u00E0 Mont-de-Marsan (Landes) le 12 f\u00E9vrier 1933, est un compositeur fran\u00E7ais\r\nDuparc fait ses \u00E9tudes secondaires au coll\u00E8ge j\u00E9suite de Vaugirard. Son professeur de piano n'est autre que le grand C\u00E9sar Franck. Ce dernier lui fait comprendre qu'il ne pourra jamais \u00EAtre un pianiste virtuose, mais qu'il y a, en lui, l'\u00E9toffe d'un compositeur. \u00C0 l'image des musiciens qui lui sont contemporains, Henri Duparc r\u00E9pond \u00E0 l'appel du temps : r\u00E9concilier, rapprocher, faire se rejoindre m\u00E9lodie et parole afin que cesse l'antique diff\u00E9rend entre le discours libre de la musique et celui, imp\u00E9rieusement syntaxique et sens\u00E9, du langage verbal. Voir \u00E0 ce sujet l'article d'\u00C9velyne Andr\u00E9ani \u00AB Les rapports texte-musique ou les aventures du sens \u00BB, in Analyse musicale n\u00B0 9, Paris, octobre 1987. Il y a urgence. L'Europe gronde et se d\u00E9chire.\r\nQuel est le contexte ? Concr\u00E8tement, la guerre de 1870 blesse gravement les relations entre Fran\u00E7ais et Allemands. Dans les deux pays, la musique est prise en otage. Les inconditionnels de Wagner existent de part et d'autre du Rhin, ainsi que leurs pugnaces rivaux. D\u00E9j\u00E0 l'amiti\u00E9, l'\u00E9mulation entre un Berlioz et un Wagner ne sont plus possibles. Les artistes se divisent, les sensibilit\u00E9s s'opposent.\r\nC'est une faille, \u00AB une f\u00EAlure \u00BB comme dirait Zola qui soudain passe au travers de tout le continent europ\u00E9en, de ses peuples et de leurs repr\u00E9sentants. Pourtant un grand essor, philosophique, romanesque et musical s'annon\u00E7ait, \u00E9tait en promesse. Large et puissante, l'expression de l'esprit dans toutes les disciplines, s'appr\u00EAtait \u00E0 se hisser au niveau des abondantes d\u00E9couvertes scientifiques et technologiques, qui semblaient modifier chaque jour le destin de l'humanit\u00E9. Nombreux sont les exemples. Ainsi, la qu\u00EAte quasi obsessionnelle d'un Flaubert \u00E0 la recherche de la phrase juste, se poursuit dans les formes br\u00E8ves de son disciple Maupassant. Mais la b\u00E9ance est l\u00E0, le nouvelliste et romancier est d\u00E9chir\u00E9 lui aussi. Le corps et la t\u00EAte semblent ne plus marcher de concert. Comme si la chair assassinait les mots. Des po\u00E8tes, tel Baudelaire, Verlaine, Rimbaud, un peu plus tard Artaud, ont exprim\u00E9 fort justement, l'extr\u00EAme tension de l'\u00E9poque.\r\nHenri Duparc, plus qu'un autre, ressent physiquement l'\u00E9cart\u00E8lement, l'ab\u00EEme grandissant, qui s'ouvre au coeur m\u00EAme de sa g\u00E9n\u00E9ration. Qu'est-ce que cette maladie nerveuse si \u00E9trange, si impr\u00E9cis\u00E9ment diagnostiqu\u00E9e par les m\u00E9decins qui s'abat implacablement sur lui, entrave sa force cr\u00E9atrice, sinon la tragique manifestation dans la personne de ce grand compositeur, de l'effondrement g\u00E9n\u00E9ral du corps nerveux de l'Occident ? O\u00F9 pour le dire avec les mots qu'il affectionne : \u00AB Pourquoi n'as-tu pas dit, \u00F4 r\u00EAve, o\u00F9 Dieu nous m\u00E8ne. Pourquoi n'as-tu pas dit s'ils ne finiraient pas, l'inutile travail et l'\u00E9ternel fracas dont est faite la vie, h\u00E9las la vie humaine ? \u00BB (extrait de La Vague et la Cloche, m\u00E9lodie d'Henri Duparc sur une po\u00E9sie de Fran\u00E7ois Copp\u00E9e).\r\n\u00AB Union parfaite de la m\u00E9lodie et des paroles \u00BB, \u00E9crit Lucien Rebatet \u00E0 propos des chansons d'Henri Duparc. N'est-ce pas ce que Nietzsche attendait de la musique ?\r\nCompos\u00E9es au prix d'un effort surhumain, les dix-sept m\u00E9lodies d'Henri Duparc sont d'une gr\u00E2ce inou\u00EFe. V\u00E9ritable \u00E9quilibre apollonien, d'une lumineuse clart\u00E9, le mot r\u00E9pond \u00E0 la note, l'accord se pose avec d\u00E9licatesse sur la rime. Le cycle de ses chants s'ach\u00E8ve en 1885. Le dernier, La Vie ant\u00E9rieure, aura occup\u00E9 l'esprit du compositeur pendant dix ans (1874-1884). Cette c\u00E9l\u00E8bre po\u00E9sie de Baudelaire trouve son accomplissement dans la sublime m\u00E9lodie que lui accorde Duparc. En d\u00E9pit de sa bri\u00E8vet\u00E9, la dur\u00E9e de son interpr\u00E9tation n'exc\u00E8de gu\u00E8re quatre minutes, cette \u009Cuvre a les proportions d'un vaste \u00E9difice gothique. La richesse de l'expression harmonique, le lyrisme des moindres inflexions sont extraordinaires.\r\nHenri Duparc a trente-huit ans (en 1885)"@fr . . . "Henri Duparc" . "Duparc, Henri (1848-1933)" . "Henri Duparc (Eug\u00E8ne Marie Henri Fouques Duparc, Par\u00EDs, 21 de enero de 1848 \u2014 Mont-de-Marsan, (Landas), 12 de febrero de 1933), fue un compositor franc\u00E9s, disc\u00EDpulo de C\u00E9sar Franck. Henri Duparc ten\u00EDa treinta y ocho a\u00F1os cuando la enfermedad nerviosa de la que era atendido desde hac\u00EDa a\u00F1os, le impidi\u00F3 definitivamente componer. A pesar de haber destruido la mayor\u00EDa de sus composiciones, las que quedan son grandiosas. De una gran factura, sensibles y expresivas, sus 17 \u00ABm\u00E9lodies\u00BB han bastado para hacer de \u00E9l un compositor de excepci\u00F3n, uno de los mejores melodistas franceses."@es . "Henri Duparc" . . "Duparc" . "55446" . . "1933"^^ . "Henri Duparc est un compositeur fran\u00E7ais n\u00E9 \u00E0 Paris le 21 janvier 1848 et mort \u00E0 Mont-de-Marsan (Landes) le 12 f\u00E9vrier 1933."@fr . "1848"^^ . "Henri Duparc (Paris, 21 de janeiro de 1848 \u2014 Mont-de-Marsan, 12 de fevereiro de 1933) foi um compositor franc\u00EAs do final do Romantismo. Nascido em Paris, estudou com C\u00E9sar Franck e tornou-se um de seus primeiros pupilos em composi\u00E7\u00E3o. Em 1871, reuniu-se com Saint-Sa\u00EBns e Romain Bussine para fundar a Soci\u00E9t\u00E9 Nationale de Musique. O compositor passou grande parte de sua vida adulta na Su\u00ED\u00E7a, e morreu em Mont-de-Marsan, Fran\u00E7a."@pt . . "Marie Eug\u00E8ne Henri Duparc (* 21. Januar 1848 in Paris; \u2020 12. Februar 1933 in Mont-de-Marsan) war ein franz\u00F6sischer Komponist."@de . . . . . . "Marie-Eug\u00E8ne-Henri Fouques-Duparc (Parijs, 21 januari 1848, Mont-de-Marsan, Landes, 12 februari 1933), meestal Henri Duparc genoemd, was een Franse componist."@nl . .