. . . . . "Number nine" . "Cr\u00E9\u00E9 \u00E0 Amsterdam, au Musiekgebouw, le 4 f\u00E9vrier 2010, par l'ensemble Klangforum sous la direction de Sylvain Cambreling. Editeur : Ricordi."@fr . . "Commande du Klangforum Wien. Dur\u00E9e d'ex\u00E9cution: 9 minutes environ. Commentaire d'Mauro Lanza (2012) : \u00AB Des figures musicales diverses se succ\u00E8dent. De dur\u00E9e \u00E9gale, chacune est une composante \u00AB minimale \u00BB du discours, plus ou moins imperm\u00E9able \u00E0 ce qui la pr\u00E9c\u00E8de ou la suit. comment peut-on cr\u00E9er une continuit\u00E9 et une coh\u00E9rence dans un discours aussi fragmentaire ? Il s'agit de faire na\u00EEtre un ordre, une r\u00E9gularit\u00E9 o\u00F9 les changements puissent \u00EAtre appr\u00E9ci\u00E9s. La succession de deux figures peut alors \u00EAtre pr\u00E9visible (car une coutume s'est instaur\u00E9e), ou bien constituer une nouveaut\u00E9 et une rupture.Le titre Number Nine fait r\u00E9f\u00E9rence \u00E0 un article de Michael Shermer paru dans Scientific American Magazine qui traite du canular de la mort de Paul McCartney, d\u00E9c\u00E9d\u00E9 en 1966 et remplac\u00E9 par un sosie. Des preuves de cette th\u00E9orie loufoque se trouveraient, d'apr\u00E8s les ex\u00E9g\u00E8tes, dans \u00AB R\u00E9volution #9 \u00BB, o\u00F9 la voix qui r\u00E9p\u00E8te en boucle \u00AB number nine \u00BB, diffus\u00E9e \u00E0 l'envers, semble dire \u00AB turn me on, dead man \u00BB (l'homme mort, \u00E9tant, bien \u00E9videmment Paul McCartney).La deuxi\u00E8me source d'inspiration est un extrait d'une conf\u00E9rrence d'Arnold Schoenberg \u00E0 propos de sa Kammersymphonie op. 9, o\u00F9 le compositeur, d\u00E9couvrant dans l'oeuvre des liens th\u00E9matiques impr\u00E9vus, parle du r\u00F4le miraculeurx de l'inconscient. Cet inconscient cr\u00E9ateur est le m\u00EAme inconscient qui nous am\u00E8ne \u00E0 chercher des \u00E9l\u00E9ments identifiables et familiers dans un siganl chaotique, et qui parvient \u00E0 nous faire reconna\u00EEtre des formes connues parmi le brouhaha de la vie.\u00BB"@fr . . "[di\u00E8se] 9" . "0997235" . "Number nine" . . "Commande du Klangforum Wien. Dur\u00E9e d'ex\u00E9cution: 9 minutes environ. Commentaire d'Mauro Lanza (2012) : \u00AB Des figures musicales diverses se succ\u00E8dent. De dur\u00E9e \u00E9gale, chacune est une composante \u00AB minimale \u00BB du discours, plus ou moins imperm\u00E9able \u00E0 ce qui la pr\u00E9c\u00E8de ou la suit. comment peut-on cr\u00E9er une continuit\u00E9 et une coh\u00E9rence dans un discours aussi fragmentaire ? Il s'agit de faire na\u00EEtre un ordre, une r\u00E9gularit\u00E9 o\u00F9 les changements puissent \u00EAtre appr\u00E9ci\u00E9s. La succession de deux figures peut alors \u00EAtre pr\u00E9visible (car une coutume s'est instaur\u00E9e), ou bien constituer une nouveaut\u00E9 et une rupture.Le titre Number Nine fait r\u00E9f\u00E9rence \u00E0 un article de Michael Shermer paru dans Scientific American Magazine qui traite du canular de la mort de Paul McCartney, d\u00E9c\u00E9d\u00E9 en 1966 et remplac\u00E9 par un sosie. Des preuves de cette th\u00E9orie loufoque se trouveraient, d'apr\u00E8s les ex\u00E9g\u00E8tes, dans \u00AB R\u00E9volution #9 \u00BB, o\u00F9 la voix qui r\u00E9p\u00E8te en boucle \u00AB number nine \u00BB, diffus\u00E9e \u00E0 l'envers, semble dire \u00AB turn me on, dead man \u00BB (l'homme mort, \u00E9tant, bien \u00E9videmment Paul McCartney).La deuxi\u00E8me source d'inspiration est un extrait d'une conf\u00E9rrence d'Arnold Schoenberg \u00E0 propos de sa Kammersymphonie op. 9, o\u00F9 le compositeur, d\u00E9couvrant dans l'oeuvre des liens th\u00E9matiques impr\u00E9vus, parle du r\u00F4le miraculeurx de l'inconscient. Cet inconscient cr\u00E9ateur est le m\u00EAme inconscient qui nous am\u00E8ne \u00E0 chercher des \u00E9l\u00E9ments identifiables et familiers dans un siganl chaotique, et qui parvient \u00E0 nous faire reconna\u00EEtre des formes connues parmi le brouhaha de la vie.\u00BB"@fr . . "Cr\u00E9\u00E9 \u00E0 Amsterdam, au Musiekgebouw, le 4 f\u00E9vrier 2010, par l'ensemble Klangforum sous la direction de Sylvain Cambreling. Editeur : Ricordi."@fr . "Number nine" . . . "[di\u00E8se] 9, pour ensemble" .