. . . . . . "Festival de J\u00E9rusalem" . "La pianiste Elena Bashkirova a fond\u00E9 le Festival international de musique de chambre de J\u00E9rusalem en 1998. Avec son mari, Daniel Barenboim, elle y accueille r\u00E9guli\u00E8rement, malgr\u00E9 la situation politique tendue et des conditions pr\u00E9caires, de grands artistes venus du monde entier qui c\u00F4toient de jeunes talents.\n\nVoici plus de quinze ans que l\u2019on croise au Festival international de musique de chambre de J\u00E9rusalem la fine fleur des sc\u00E8nes mondiales, poids lourds et gloires montantes confondus, tous r\u00E9unis par l\u2019amour du jeu \u00E0 plusieurs. Celle qui a op\u00E9r\u00E9 cette alchimie, c\u2019est la pianiste Elena Bashkirova, qui l\u2019a fond\u00E9 en 1998. Communion autour de la musique qui transcende les imp\u00E9ratifs financiers et les difficult\u00E9s politiques, le Festival, qui s\u2019exporte dor\u00E9navant de plus en plus, repr\u00E9sente un formidable vivier d\u2019artistes parmi les plus talentueux, comme en t\u00E9moigne le casting de ces deux soir\u00E9es donn\u00E9es \u00E0 la Philharmonie. On y remarque le violoniste Michael Barenboim, fils de Bashkirova et de Daniel Barenboim, depuis dix ans premier violon du Divan occidental-oriental, mais aussi Stella Doufexis ou encore le Fran\u00E7ais Pascal Moragu\u00E8s, clarinette solo de l\u2019Orchestre de Paris depuis 1981."@fr . . . . . "Festival de Jerusalem 1" . "concert"@fr . . . "Festival de J\u00E9rusalem" . "La pianiste Elena Bashkirova a fond\u00E9 le Festival international de musique de chambre de J\u00E9rusalem en 1998. Avec son mari, Daniel Barenboim, elle y accueille r\u00E9guli\u00E8rement, malgr\u00E9 la situation politique tendue et des conditions pr\u00E9caires, de grands artistes venus du monde entier qui c\u00F4toient de jeunes talents.\n\nVoici plus de quinze ans que l\u2019on croise au Festival international de musique de chambre de J\u00E9rusalem la fine fleur des sc\u00E8nes mondiales, poids lourds et gloires montantes confondus, tous r\u00E9unis par l\u2019amour du jeu \u00E0 plusieurs. Celle qui a op\u00E9r\u00E9 cette alchimie, c\u2019est la pianiste Elena Bashkirova, qui l\u2019a fond\u00E9 en 1998. Communion autour de la musique qui transcende les imp\u00E9ratifs financiers et les difficult\u00E9s politiques, le Festival, qui s\u2019exporte dor\u00E9navant de plus en plus, repr\u00E9sente un formidable vivier d\u2019artistes parmi les plus talentueux, comme en t\u00E9moigne le casting de ces deux soir\u00E9es donn\u00E9es \u00E0 la Philharmonie. On y remarque le violoniste Michael Barenboim, fils de Bashkirova et de Daniel Barenboim, depuis dix ans premier violon du Divan occidental-oriental, mais aussi Stella Doufexis ou encore le Fran\u00E7ais Pascal Moragu\u00E8s, clarinette solo de l\u2019Orchestre de Paris depuis 1981."@fr . . "e14520" . . . . . .