. . . "Air" . . . . . . . . "concert"@fr . "Air s'installe \u00E0 nouveau \u00E0 Pleyel pour une cr\u00E9ation sp\u00E9ciale. Ce concert s'inscrit dans le cadre d'un Domaine priv\u00E9 que la Cit\u00E9 de la musique consacre \u00E0 ce groupe essentiel de la sc\u00E8ne fran\u00E7aise.\n\nAir s\u2019installe \u00E0 nouveau \u00E0 la Salle Pleyel apr\u00E8s sa sublime prestation de la saison pass\u00E9e. Avec une classe inou\u00EFe, le tandem versaillais avait alors tapiss\u00E9 les murs de la salle de sa savante vraie-fausse B.O. aux effluves pop, new age et \u00E0 peine electro. Car d\u00E9guster Air sur sc\u00E8ne, c\u2019est constater que les exp\u00E9riences sonores pratiqu\u00E9es en studio par Jean-Beno\u00EEt Dunckel et Nicolas Godin s\u2019appuient sur de vraies compositions ayant toujours une seconde voire une troisi\u00E8me vie face \u00E0 leur public. Live, chacun peut constater les facult\u00E9s organiques de ces chansons oniriques ou de ces interludes psych\u00E9d\u00E9liques. \u00C0 leurs d\u00E9buts, il y a dix ans, cette fameuse \u00E9tiquette de French Touch qui voulait fusionner tous les bidouilleurs electro de l\u2019hexagone n\u2019avait que peu \u00E0 voir avec les paysages sonores sculpt\u00E9s par le bin\u00F4me plut\u00F4t h\u00E9ritier de Serge Gainsbourg, des Beach Boys, des Beatles ou de Fran\u00E7ois de Roubaix. Comme une m\u00E9lodie XXL en cin\u00E9mascope, la partition de Air est \u00E0 la fois charnelle et kal\u00E9idoscopique. Essentiellement instrumentales, les pi\u00E8ces mont\u00E9es par Dunckel et Godin, sculptures \u00E9lectroniques ou acoustiques \u00E0 tiroirs, percent notre imaginaire et titillent nos sens. Et le r\u00E9sultat est toujours aussi hypnotique, qu\u2019il s\u2019applique \u00E0 eux m\u00EAme ou \u00E0 l\u2019univers de leurs amis et commanditaires Charlotte Gainsbourg, Sofia Coppola ou m\u00EAme Alessandro Baricco. Une musique, visuelle et color\u00E9e, qui s\u2019av\u00E8re surtout intemporelle. Ce concert \u00E0 Pleyel s\u2019inscrit dans le cadre d\u2019un Domaine priv\u00E9 que la Cit\u00E9 de la musique consacre \u00E0 ce groupe essentiel de la sc\u00E8ne fran\u00E7aise actuelle."@fr . "Air s'installe \u00E0 nouveau \u00E0 Pleyel pour une cr\u00E9ation sp\u00E9ciale. Ce concert s'inscrit dans le cadre d'un Domaine priv\u00E9 que la Cit\u00E9 de la musique consacre \u00E0 ce groupe essentiel de la sc\u00E8ne fran\u00E7aise.\n\nAir s\u2019installe \u00E0 nouveau \u00E0 la Salle Pleyel apr\u00E8s sa sublime prestation de la saison pass\u00E9e. Avec une classe inou\u00EFe, le tandem versaillais avait alors tapiss\u00E9 les murs de la salle de sa savante vraie-fausse B.O. aux effluves pop, new age et \u00E0 peine electro. Car d\u00E9guster Air sur sc\u00E8ne, c\u2019est constater que les exp\u00E9riences sonores pratiqu\u00E9es en studio par Jean-Beno\u00EEt Dunckel et Nicolas Godin s\u2019appuient sur de vraies compositions ayant toujours une seconde voire une troisi\u00E8me vie face \u00E0 leur public. Live, chacun peut constater les facult\u00E9s organiques de ces chansons oniriques ou de ces interludes psych\u00E9d\u00E9liques. \u00C0 leurs d\u00E9buts, il y a dix ans, cette fameuse \u00E9tiquette de French Touch qui voulait fusionner tous les bidouilleurs electro de l\u2019hexagone n\u2019avait que peu \u00E0 voir avec les paysages sonores sculpt\u00E9s par le bin\u00F4me plut\u00F4t h\u00E9ritier de Serge Gainsbourg, des Beach Boys, des Beatles ou de Fran\u00E7ois de Roubaix. Comme une m\u00E9lodie XXL en cin\u00E9mascope, la partition de Air est \u00E0 la fois charnelle et kal\u00E9idoscopique. Essentiellement instrumentales, les pi\u00E8ces mont\u00E9es par Dunckel et Godin, sculptures \u00E9lectroniques ou acoustiques \u00E0 tiroirs, percent notre imaginaire et titillent nos sens. Et le r\u00E9sultat est toujours aussi hypnotique, qu\u2019il s\u2019applique \u00E0 eux m\u00EAme ou \u00E0 l\u2019univers de leurs amis et commanditaires Charlotte Gainsbourg, Sofia Coppola ou m\u00EAme Alessandro Baricco. Une musique, visuelle et color\u00E9e, qui s\u2019av\u00E8re surtout intemporelle. Ce concert \u00E0 Pleyel s\u2019inscrit dans le cadre d\u2019un Domaine priv\u00E9 que la Cit\u00E9 de la musique consacre \u00E0 ce groupe essentiel de la sc\u00E8ne fran\u00E7aise actuelle."@fr . . "e6653" . . . "et l'Orchestre National d'Ile de France / Direction Didier Benetti" . . "Air" . . . . . .