. "concert"@fr . . . "Quatuor Diotima" . _:b4738305 "clavecin Ruckers-Taskin 1646/1780 (collection Mus\u00E9e de la musique)" . . "Pour cette quatri\u00E8me biennale, la Cit\u00E9 de la musique a propos\u00E9 aux formations invit\u00E9es de se partager l\u2019\u0153uvre compl\u00E8te de Schubert pour quatuor \u00E0 cordes. Avec, en guise de contrepoint \u00E0 cette int\u00E9grale, une belle s\u00E9rie de cr\u00E9ations, sign\u00E9es Georges Aperghis, James Dillon, Pascal Dusapin, Marc Monnet, Emmanuel Nunes, Olga Neuwirth et Brice Pauset. \nSchubert, qui tenait la partie de violon dans le quatuor \u00E0 cordes familial, commen\u00E7a \u00E0 composer d\u00E8s l\u2019\u00E2ge de treize ans pour cette formation \u00E0 la fois intimidante et intimiste. Mais c\u2019est avec son fragmentaire Quartettsatz de 1820 qu\u2019il insuffle au genre un esprit nouveau, d\u2019une intensit\u00E9 inou\u00EFe. Les grandes pages qui suivront sont tant\u00F4t impr\u00E9gn\u00E9es de l\u2019atmosph\u00E8re du lied, tant\u00F4t \u00E0 la recherche d\u2019une puissance orchestrale, comme dans le fascinant premier mouvement de La Jeune Fille et la Mort."@fr . . "Quatuor Diotima" . "e10087" . _:b4738305 . . . . . . _:b4738305 . . "Pour cette quatri\u00E8me biennale, la Cit\u00E9 de la musique a propos\u00E9 aux formations invit\u00E9es de se partager l\u2019\u0153uvre compl\u00E8te de Schubert pour quatuor \u00E0 cordes. Avec, en guise de contrepoint \u00E0 cette int\u00E9grale, une belle s\u00E9rie de cr\u00E9ations, sign\u00E9es Georges Aperghis, James Dillon, Pascal Dusapin, Marc Monnet, Emmanuel Nunes, Olga Neuwirth et Brice Pauset. \nSchubert, qui tenait la partie de violon dans le quatuor \u00E0 cordes familial, commen\u00E7a \u00E0 composer d\u00E8s l\u2019\u00E2ge de treize ans pour cette formation \u00E0 la fois intimidante et intimiste. Mais c\u2019est avec son fragmentaire Quartettsatz de 1820 qu\u2019il insuffle au genre un esprit nouveau, d\u2019une intensit\u00E9 inou\u00EFe. Les grandes pages qui suivront sont tant\u00F4t impr\u00E9gn\u00E9es de l\u2019atmosph\u00E8re du lied, tant\u00F4t \u00E0 la recherche d\u2019une puissance orchestrale, comme dans le fascinant premier mouvement de La Jeune Fille et la Mort."@fr . . . . "Schubert, Pauset, Nunes" . .