"Au 15e Concours international de piano Fr\u00E9d\u00E9ric Chopin de Varsovie en 2005, le jeune Polonais Rafal Blechacz, \u00E0 peine \u00E2g\u00E9 de vingt ans, remporte tous les suffrages. Non seulement il est le premier Polonais depuis Krystian Zimerman \u00E0 gagner, trente ans plus tard, la supr\u00EAme distinction, mais aussi \u00E0 obtenir quatre Prix sp\u00E9ciaux dont celui des Mazurkas, r\u00E9compense qui installe un candidat au firmament de l\u2019\u00E2me polonaise. Avec humilit\u00E9 mais d\u00E9termination, il s\u2019est impos\u00E9 dans le paysage musical, se donnant les moyens d\u2019aborder la carri\u00E8re avec une r\u00E9flexion sur son art qui ne br\u00FBle pas les \u00E9tapes. Un enregistrement des 24 Pr\u00E9ludes de Chopin (chez DGG) a, d\u2019entr\u00E9e de jeu, s\u00E9duit la critique pourtant habitu\u00E9e aux versions de r\u00E9f\u00E9rence. Salle Pleyel, son r\u00E9cital est \u00E0 l\u2019image de sa personnalit\u00E9 de musicien po\u00E8te. Avec la Partita n\u00B0 1 en si b\u00E9mol majeur BWV 825 de Jean-S\u00E9bastien Bach, concise et virtuose, la Sonate KV 570 de Mozart dans la m\u00EAme tonalit\u00E9 et d\u2019un \u00E9quilibre parfait, les trois mouvements Pour le piano de Claude Debussy \u00E0 la palette sonore illimit\u00E9e, ainsi qu\u2019un bouquet de pages majeures de son cher Fr\u00E9d\u00E9ric Chopin (Ballade n\u00B0 3, Nocturnes opus 63, Mazurkas opus 17, Polonaise opus 53), il ouvre des perspectives infinies o\u00F9 la technique se met au service de la seule expression."@fr . "Rafal Blechacz" . "R\u00E9cital" . "concert"@fr . . . . . . . . "e6656" . . "Au 15e Concours international de piano Fr\u00E9d\u00E9ric Chopin de Varsovie en 2005, le jeune Polonais Rafal Blechacz, \u00E0 peine \u00E2g\u00E9 de vingt ans, remporte tous les suffrages. Non seulement il est le premier Polonais depuis Krystian Zimerman \u00E0 gagner, trente ans plus tard, la supr\u00EAme distinction, mais aussi \u00E0 obtenir quatre Prix sp\u00E9ciaux dont celui des Mazurkas, r\u00E9compense qui installe un candidat au firmament de l\u2019\u00E2me polonaise. Avec humilit\u00E9 mais d\u00E9termination, il s\u2019est impos\u00E9 dans le paysage musical, se donnant les moyens d\u2019aborder la carri\u00E8re avec une r\u00E9flexion sur son art qui ne br\u00FBle pas les \u00E9tapes. Un enregistrement des 24 Pr\u00E9ludes de Chopin (chez DGG) a, d\u2019entr\u00E9e de jeu, s\u00E9duit la critique pourtant habitu\u00E9e aux versions de r\u00E9f\u00E9rence. Salle Pleyel, son r\u00E9cital est \u00E0 l\u2019image de sa personnalit\u00E9 de musicien po\u00E8te. Avec la Partita n\u00B0 1 en si b\u00E9mol majeur BWV 825 de Jean-S\u00E9bastien Bach, concise et virtuose, la Sonate KV 570 de Mozart dans la m\u00EAme tonalit\u00E9 et d\u2019un \u00E9quilibre parfait, les trois mouvements Pour le piano de Claude Debussy \u00E0 la palette sonore illimit\u00E9e, ainsi qu\u2019un bouquet de pages majeures de son cher Fr\u00E9d\u00E9ric Chopin (Ballade n\u00B0 3, Nocturnes opus 63, Mazurkas opus 17, Polonaise opus 53), il ouvre des perspectives infinies o\u00F9 la technique se met au service de la seule expression."@fr . . . "Rafal Blechacz" .