"Entre le c\u00E9l\u00E9brissime Bol\u00E9ro de Ravel et le surprenant Mandarin merveilleux de Bart\u00F3k surgit la virtuosit\u00E9 violonistique du Concerto de Tcha\u00EFkovski port\u00E9e par la fougue et la sensibilit\u00E9 de Nemanja Radulovic.\n\nEntre Nemanja Radulovic et l\u2019Orchestre Pasdeloup, c\u2019est une complicit\u00E9 qui dure depuis plus de dix ans d\u00E9j\u00E0. Le violoniste serbe, arriv\u00E9 en France \u00E0 l\u2019adolescence, commen\u00E7ait \u00E0 l\u2019\u00E9poque de faire parler de lui ; depuis, sa virtuosit\u00E9 fougueuse et sa musicalit\u00E9 flamboyante en ont fait, \u00E0 juste titre, la coqueluche des milieux musicaux, qui lui ont notamment d\u00E9cern\u00E9 deux Victoires de la Musique (\u201CR\u00E9v\u00E9lation internationale de l\u2019ann\u00E9e\u201D en 2005, \u201CSoliste instrumental\u201D en 2014), tandis que ses disques accumulaient les distinctions. Presque deux ans apr\u00E8s leur dernier concert salle Pleyel, l\u2019orchestre et le soliste interpr\u00E8tent, outre le c\u00E9l\u00E9brissime Concerto de Tcha\u00EFkovski, l\u2019\u00C9vocation d\u2019un r\u00EAve de l\u2019Argentin Esteban Benzecry, dont ils avaient assur\u00E9 ensemble la cr\u00E9ation en 2006 et qui fut par la suite prolong\u00E9 de deux autres mouvements (dont \u00C9vocation d\u2019un monde perdu, donn\u00E9 en 2008 en premi\u00E8re audition \u00E0 Pleyel). Deux pi\u00E8ces cr\u00E9\u00E9es la m\u00EAme ann\u00E9e (1928) compl\u00E8tent la soir\u00E9e : le Bol\u00E9ro de Ravel et la suite orchestrale du Mandarin merveilleux de Bart\u00F3k."@fr . . "e15204" . . . . . . . . "Entre le c\u00E9l\u00E9brissime Bol\u00E9ro de Ravel et le surprenant Mandarin merveilleux de Bart\u00F3k surgit la virtuosit\u00E9 violonistique du Concerto de Tcha\u00EFkovski port\u00E9e par la fougue et la sensibilit\u00E9 de Nemanja Radulovic.\n\nEntre Nemanja Radulovic et l\u2019Orchestre Pasdeloup, c\u2019est une complicit\u00E9 qui dure depuis plus de dix ans d\u00E9j\u00E0. Le violoniste serbe, arriv\u00E9 en France \u00E0 l\u2019adolescence, commen\u00E7ait \u00E0 l\u2019\u00E9poque de faire parler de lui ; depuis, sa virtuosit\u00E9 fougueuse et sa musicalit\u00E9 flamboyante en ont fait, \u00E0 juste titre, la coqueluche des milieux musicaux, qui lui ont notamment d\u00E9cern\u00E9 deux Victoires de la Musique (\u201CR\u00E9v\u00E9lation internationale de l\u2019ann\u00E9e\u201D en 2005, \u201CSoliste instrumental\u201D en 2014), tandis que ses disques accumulaient les distinctions. Presque deux ans apr\u00E8s leur dernier concert salle Pleyel, l\u2019orchestre et le soliste interpr\u00E8tent, outre le c\u00E9l\u00E9brissime Concerto de Tcha\u00EFkovski, l\u2019\u00C9vocation d\u2019un r\u00EAve de l\u2019Argentin Esteban Benzecry, dont ils avaient assur\u00E9 ensemble la cr\u00E9ation en 2006 et qui fut par la suite prolong\u00E9 de deux autres mouvements (dont \u00C9vocation d\u2019un monde perdu, donn\u00E9 en 2008 en premi\u00E8re audition \u00E0 Pleyel). Deux pi\u00E8ces cr\u00E9\u00E9es la m\u00EAme ann\u00E9e (1928) compl\u00E8tent la soir\u00E9e : le Bol\u00E9ro de Ravel et la suite orchestrale du Mandarin merveilleux de Bart\u00F3k."@fr . "Orchestre Pasdeloup" . . . . "concert"@fr . . "\u00C9blouissement" . "\u00C9blouissement" . .